Mayu annonce son premier album avec Parle Moi du soleil

Mayu prépare son premier album chez Badoo Music, avec Parle moi du soleil, un premier titre écrit par Francis Cabrel.

Le musicien brésilien Mayu prépare son premier album chez Badoo Music, avec Parle moi du soleil, un premier titre écrit par Francis Cabrel. Auparavant, Mayu a dévoilé Prisonnier, un titre qui évoque sa vie d’expatrié, lui qui s’est installé depuis quelques années à Astaffort.

Chanteur et multi-instrumentiste, Mayu est un artiste brésilien à découvrir ! Bassiste surdoué, il est aussi un compositeur de talent. En pleine préparation d’un premier album sans date de sortie encore, l’artiste signé sur le label Baboo Music dévoile une musique très autobiographique, entre nostalgie du Brésil et hommage à la France qui l’a accueilli.
Artiste brésilien, il est à la fois, bassiste & contrebassiste, compositeur, auteur et interprète. C’est avec un premier titre en français Parle moi du soleil qu’il nous fait découvrir son univers : un doux mélange de chansons, de world music, avec des connotations jazz et sonorités brésiliennes …
Célébrant les liens entre les cultures et musiques brésiliennes et françaises, il s’inscrit dans une longue tradition d’échange musicale entre les deux pays, née à l’époque de la bossa nova, et représentée par des figures illustres comme Baden Powell, Pierre Barouh, Maxime Le Forestier, Georges Moustaki, Marie Laforêt, Francis Laï…
Mayu annonce son premier album avec Parle Moi du soleil - Mazik
« Sur ton vieil autoradio
Les chansons toutes pareilles
Comme les bulletins météo
Parle-moi du soleil
On laissera les gâteaux
Aux fourmis et aux abeilles
On prendra le temps qu’il faut
Parle-moi du soleil
Parle-moi du soleil
Parle-moi du soleil
Parle-moi du soleil… » extrait des paroles de Parle moi du soleil
Arrivé de son Brésil natal en 2009, Mayu fait ses classes au Conservatoire d’Agen, puis est pris sous l’aile d’Aurélie Cabrel et Esthen Dehut, qui perçoivent en lui un potentiel inestimable. Son premier album, Pas d’Ici, paraîtra cette année selon toutes hypothèses.
Un premier single, « Parle moi du soleil », une ritournelle lumineuse écrite par Francis Cabrel, illustre une voix suave et caressante. Dans ce premier album intimiste, Mayu dresse des ponts entre chanson française, jazz et musique populaire brésilienne avec une originalité qui accroche l’oreille dès la première écoute.
Voici en découverte Mazik le clip de Mayu, Parle-moi du soleil :

👉 Partagez cet article 👇 👍 🎵 🙂

Vesko fait briller une lueur d’espoir avec « Sini »!

2019 : Vesko repère Maïmouna Soumbounou, alors âgée de 18 ans, sur les réseaux sociaux, et tombe immédiatement sous le charme de sa voix.

Le producteur saute dans un vol pour le Mali, sa seconde patrie depuis qu’il  a  l’âge de 17ans. A Bamako,  il  rencontre  la  jeune cantatrice malienne, et lui  propose de chanter sur un titre qu’il a composé et emmené dans ses bagages. La jeune diva, qui chante depuis l’âge de quatre ans, accepte : les voilà en studio. D’un trait, comme un fleuve impétueux,  elle chante Sini (littéralement « demain », ou « l’avenir »).

 

C’est cette première prise, spontanée et authentique, qui a été retenue pour l’album.  Avec l’aisance d’une Oumou Sangare – son modèle et sa marraine artistique, elle y parle des enfants de la rue, des orphelins, et de tous ces jeunes laissés pour compte qui se  battent pour s’en sortir. Elle interpelle les autorités de son pays, afin qu’elles investissent  dans l’éducation des moins de 15 ans, qui représentent la moitié de la population malienne: “les enfants sont notre avenir, chante la jeune femme; comment pourraient -ils grandir dans le monde d’aujourd’hui sans un bagage solide ?”. Comme son aînée, Maïmouna Soumbounou met sa voix au service de la société.


A PROPOS DU CLIP

Vesko fait briller une lueur d'espoir avec "Sini"! - Mazik

Le but du clip de Vesko est de montrer la jeunesse Bamakoise tel qu’elle est : dynamique, spontanée et rayonnante, reprenant le thème de la chanson « Sini»:

Cette chanson évoque les enfants de la rue, les orphelins, et tous ces jeunes laissés pour compte qui se battent pour s’en sortir. Elle interpelle les autorités de son pays afin qu’elles investissent dans l’éducation des moins de 15 ans, qui représentent près de la moitié de la population malienne.