A D A M électrise la scène musicale française avec « Dementia »

Avec Dementia, A D A M (A Dance After Midnight) nous livre un single percutant, à la croisée des genres synth pop et indie pop.

A D A M est un artiste bordelais, passionné et créatif, qui s’inscrit dans la lignée des producteurs de musique électro-pop capables de nous faire danser tout en délivrant un message plein de sens. Extrait de son premier EP Ghost Story Part 1, prévu pour le printemps 2025, Dementia est une plongée dans les tourments émotionnels d’une relation toxique, oscillant entre frustration, dépendance et espoir illusoire.

A D A M

Ce nouveau single est une invitation à ressentir, à danser et à se laisser emporter par une vague d’émotions contrastées, mais naturelles pour tout être humain ayant vécu une relation compliquée. 

Dès les premières notes, un riff de guitare rétro installe une atmosphère familière et nostalgique, évoquant les sonorités intemporelles des années 80. Puis viennent les synthétiseurs, riches et texturés, inspirés de l’univers de Stranger Things, qui donnent une touche plus moderne à l’ensemble du morceau. L’alternance entre l’anglais et le français dans les paroles donne à Dementia un fort potentiel pour attirer un public français comme anglophones, et peut aussi être vu à mon sens comme une illustration des contradictions émotionnelles dont parle le morceau.

A D A M - Cover de Dementia

La production est soignée, équilibrant habilement des sonorités électro scintillantes et des rythmes entraînants, donnant au morceau un caractère dansant malgré son thème introspectif. La voix expressive d’A D A M porte avec sincérité la douleur et l’espoir mêlés qui imprègnent le texte.

Bref, Dementia est le genre de titre que tu écoutes une fois… puis en boucle. C’est puissant, c’est addictif, et ça donne envie d’en entendre plus.

Avec ce titre, A D A M prouve qu’il est un artiste à suivre de près. Une réussite qui annonce un premier EP prometteur et qui confirme son talent pour raconter des histoires à travers la musique.

 

Kim Carnes : une voix inoubliable de la pop américaine

Née le 20 juillet 1945 à Pasadena, Californie, Kim Carnes est une chanteuse et compositrice américaine dont la voix rauque est reconnaissable entre toutes. Elle reste mondialement célèbre pour son tube « Bette Davis Eyes », sorti en 1981, qui rend hommage à l’actrice du même nom.

Kim Carnes

Débuts et ascension

Kim Carnes débute sa carrière en 1972 avec son premier album, Rest on Me. Elle enchaîne rapidement avec un album éponyme et Sailin’, montrant une évolution artistique constante. Son style oscille entre pop et country, ce qui lui permet de toucher un large public. Au début des années 1980, elle compose des morceaux pour des artistes prestigieux comme Barbra Streisand, Frank Sinatra et Kenny Rogers, souvent avec son mari, Dave Ellingson.

Succès planétaire de Kim Carnes

Le tournant de sa carrière arrive en 1981 avec l’album Mistaken Identity, porté par le succès colossal de « Bette Davis Eyes ». Ce morceau, écrit par Donna Weiss et Jackie DeShannon en 1974, connaît un nouvel élan grâce à l’arrangement synthétique réalisé par Bill Cuomo. L’actrice Bette Davis elle-même exprime son admiration pour cette chanson emblématique.

Kim Carnes confirme son succès avec les albums suivants : Voyeur en 1982 et Barking at Airplanes en 1985. Elle participe également à des projets musicaux majeurs, comme « We Are the World », avec USA for Africa, et la bande originale du film Flashdance en 1983 avec le titre « I’ll Be Here Where the Heart Is ».

Mistaken Identity - Kim Carnes

Une évolution vers la country

Après des années 1980 marquées par des hits pop, Kim Carnes se recentre sur un style plus intimiste et country à partir de l’album View from the House en 1988. Son retour musical, Chasing Wild Train, en 1998, illustre sa passion intacte pour la composition et l’interprétation.

Un héritage musical durable

Malgré un retrait progressif des projecteurs, Kim Carnes reste une figure majeure de la musique pop et country. Son talent pour créer des œuvres intemporelles et émotionnelles lui a permis de marquer plusieurs générations.

Discographie de Kim Carnes

2004 – Chasin’ Wild Trains
1993 – Gypsy Honeymoon: The Best of…
1991 – Checkin’ out the Ghosts
1988 – View from the House
1986 – Lighthouse
1985 – Barking at Airplanes
1983 – Café Racers
1982 – Voyeur
1981 – Mistaken Identity
1980 – Romance Dance
1979 – St. Vincent’s Court
1976 – Sailin’
1975 – Kim Carnes
1971 – Rest on Me

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