Fougueux, rock’n’roll et entièrement collaboratif, le nouvel EP de DEAP VALLY est aujourd’hui disponible sur le label Cooking Vinyle.
Digital Dream, c’est avant tout une histoire collective. Une série de collaborations et de duos inédits, portée par le même goût de l’audace et de la création !
Le fruit de cette alchimie créatrice : 4 titres hors des sentiers battus, entre punk, blues, rock … mais toujours bordés d’une énergie impétueuse, signature infaillible du tandem.
Avec ce nouvel opus, le duo califonien composé de Lindsay Troy (à la basse) et de Julie Edwards (à la batterie) se réinvente donc au grès de ces collaborations, toujours plus excitantes : Jennylee (Warpaint), KT Tunstall and Peaches, Soko et Jamie Hince (The Kills).
Pour accompagner la sortie de leur EP, le duo dévoile enfin le clip de Look Away (feat Jennylee). Réalisée par le cinéaste Tristan Scott-Behrends, la vidéo nous entraîne dans un état de transe et de délivrance des plus délectable.
TRACKLISTING DE L’EP DIGITAL DREAM
Look Away (Avec Jennylee )
Digital Dream (Avec Soko, Zach Dawes )
High Horse (Avec Katie Tunstall & Peaches)
Shock Easy (Avec Jamie Hince )
Discographie de Deap Vally
Albums studio
2013 : Sistrionix
2016 : Femejism
EPs
2013 : Get Deap
2021 : Digital Dream
Singles
2012 : Gonna Make My Own Money
2013 : End of the World
7 Weeks est un groupe de Heavy Rock, Grunge Rock, Stoner Rock français fondé à Limoges qui a déjà a son actif 5 albums et de nombreuses tournées à travers la France et l’Europe.
Extension de l’album Sisyphus de janvier 2020, le groupe a publié l’EP 5 titres « WHat’s next ? – The Sisyphus Sessions » fin novembre. Il illustre l’abnégation mais aussi l’introspection d’un groupe retournant chercher son rocher, après l’avoir vu redescendre en mars dernier avec le confinement.
7 Weeks en bref
En avril 2006, Julien Bernard (chanteur, bassiste, guitariste) et Nicolas « Nixe » Devere (guitariste) montent ensemble un groupe appelé Stone Train. Avant de de recruter un chanteur et un clavier ou second guitariste pour renforcer la formation, le duo enregistre quatre morceaux au style Stoner Rock et Pop chantés en français. Ils sont rejoints par Jérémy Cantin-Gaucher (batterie et programmations) et Philippe « Le Clou » Blanchard.
Au cours de l’été 2006, le groupe décide d’enregistrer quatre titres au Media Studio de Verneuil-sur-Vienne. Les enregistrements de « The Score », « Down », « In The Name of God » et « Living Dead » figurent donc sur leur premier EP démo éponyme, 7 Weeks officialisant ainsi son nom définitif, les « sept semaines » représentant le lap s de temps qui a fallu entre la création du groupe et sa première entrée en studio.
S’en suit bien entendu un premier concert qui se déroule aux 3 Singes à Limoges puis devant des publics très différents, du festival Rock for People au fameux Hellfest.
Après leur démo bien accueillie par la critique spécialisée, 7 Weeks surprend ses fans avec son deuxième album en 2011 puisqu’il intègre des sonorités synthétiques et des climats glaçants pour leur ciné-concert sur le film “Dead of Night”, une relecture musicale du chef-d’œuvre de Bob Clarck (1974).
Ce changement de direction musicale matérialise leur quête de renouvèlement perpétuel en ouvrant sur chaque album de nouvelles sonorités, n’hésitant jamais à prendre des risques comme de chanter en anglais au grand dam des puristes du rock hexagonal. Le combo assume ses choix et persiste en s’auto-produisant et en prenant seul les risquent financiers qui en découlent.
D’ailleurs le groupe a failli disparaître sans toutefois entacher sa créativité, bien au contraire, cela a même boosté son inspiration.
Le dernier album en date intitulé Sisyphus est sorti en janvier 2020.
C’est le résultat des années de persévérance de 7 Weeks qui nous propose un rock percutant, un roc qu’ils ont roulé (rock and roll) tout au sommet à l’instar de Sisyphe de Camus, pour mieux le regarder dévaler la pente puis le remonter inlassablement, encore et encore…
À l’image de la reprise de « Cirkus » de King Crimson, « What’s Next? » montre ce qui est derrière le masque, derrière la représentation, l’idée d’être amputé de quelque chose, comme de la tournée qui devait emmener le groupe aux Francofolies de la Rochelle ou encore au Nancy Jazz Festival. On peut bien sûr faire un parallèle à ce que nous vivons depuis la pandémie, quand le vide prend place au sens propre comme au figuré.
Au travers de titres inédits, de revisites acoustiques (enregistrées en one shot 100% live afin de capturer la facette la plus épurée de leur musique) et d’une reprise surprenante, 7 Weeks perdure le cycle de Sisyphus et affirme la singularité du groupe.
Membres de 7 Weeks
Julien Bernard – chant, basse, guitare en studio
Jérémy Cantin-Gaucher – batterie
PH Marin – claviers, guitare et chœurs live
Fred Mariolle – guitare
Anciens membres
Gérald Gimenez – Guitare
Manuel Costa – Claviers
Nicolas Aigrot – Guitare
Florian Compain – Guitare
Philippe Blanchard – Guitare
Nicolas Devere- Guitare
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