Animal Triste dévoile son côté sombre avec « Afterlife »!

Avec Afterlife, le soleil noir de l’album « Night of the Loving Dead », Animal Triste poursuit l’exploration de son bestiaire électrique.

Ce soir, c’est pleine lune.


A PROPOS D’ANIMAL TRISTE

Animal Triste dévoile son côté sombre avec "Afterlife"!

Si l’animal est triste, il continue à danser, même dans le noir avec Afterlife ! Cette hydre à six têtes, émanation des  groupes  rouennais  La Maison Tellier et Darko réhabilite un rock totalement organique et électrique, racé et mélodique, parfois sombre mais qui ne sombre jamais dans la déprime.  Un rock intemporel, sans artifices, qui se frotte aux  fantômes du  passé  avec une  sincérité totale et un réel talent.

Animal Triste réunit Yannick Marais (chanteur de La Maison Tellier), Sebastien Miel (La Maison Tellier),  Mathieu Pigné (Radiosofa, Darko), Fabien Senay (Radiosofa),  David  Faisques (Darko) et Cedrick Kerbache (Dallas).


NOUVEL ALBUM DISPONIBLE

NIGHT OF THE LOVING DEAD

Animal Triste dévoile son côté sombre avec "Afterlife"!

« Le rock ne compte pas ses morts, il relève les blessés. Animal Triste est l’un d’eux, rescapé d’une guerre abrasive de  basse intensité,  comme si les  larsens faisaient  figure de derniers Mohicans. Reste l’énergie, l’envie – en vie.

Dans ce  nouvel album,  « Night of the loving dead »,  enregistré  dans la  pampa normande, on retrouve les références chères au groupe,  Nick Cave,  Sixteen Horsepower  ou The Black Angels, et surtout la collaboration spontanée de Peter Hayes  (Black Rebel Motorcycle Club), venu prêter ses guitares nocturnes.

Animal  Triste  certes,  on  comprend à l’écoute  « Night of the Loving Dead » que  l’époque n’est pas au rose-bonbon,  mais  la joie noire du rock perce la brume, à coups de voix  et  de sons   organiques,   trempés   dans  l’acide  ou lancinants,  toujours  sur  le  fil.   Du   vintage d’aujourd’hui, sûr que l’idée de combustion explosera sur scène. On y sera – pourvu que ça brûle.»

– Caryl Ferey

Bazbaz & Manudigital: #LoveBordel, où quand la chanson française rencontre le dub

C’est à l’ère du confinement que la connexion se fait virtuellement entre Bazbaz et Manudigital.

Manudigital and Bazbaz - #LoveBordel - Mazik

Bazbaz présente un mélange personnel de chanson à base de blues, de reggae et de rock. Son ton détaché, ses textes au parfum doux-amer et son amour des femmes rendent ses chansons particulièrement attachantes. Beatmaker et bassiste spécialisé dans le Reggae digital, Manudigital s’est imposé au fil des années comme un producteur incontournable sur la scène internationale, collaborant avec une pléiade d’artistes et développant de nombreux concepts vidéo à travers le monde.

C’est ainsi que, d’une rencontre virtuelle sur Instagram en mode confinade, va naître un EP bien réel : #LoveBordel. Un projet commun entre Bazbaz et Manudigital.

« En gros reggae addict ça fait un moment que je kiffe le son de Manudigital. Et sa formule digital session me fait délirer, se mettre avec un p’tit clavier sur les genoux dans les rues de Kingston, New York ou les trottoirs de Manille et faire chanter des mecs incroyables live and direct, il faut avoir des… couilles ! » nous dit Bazbaz.

De leur respect mutuel va naître instantanément l’idée de faire des chansons ensemble. Sans se connaître, sans jamais se rencontrer, pour cause de confinement, les deux musiciens commencent à composer 7 titres qu’ils enregistreront en quelques mois, auxquels viendront s’ajouter 2 versions dub savamment concoctées par Manudigital. « Que du kiffe » disent-ils en chœur !

#LoveBordel c’est un subtil mélange de leur deux univers, une rencontre entre la chanson française et le dub pour un résultat, chaud, planant et sexy.

À écouter en cliquant juste ici

Strictly Reggae, Strictly Lover, Strictly Digital 

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