Les Excellents s’invitent au Café de la Danse à Paris les 11 et 12 avril 2022

Les Excellents - Café de la Danse

Les Excellents, emmenés par Ramon Pipin, seront en concert à Paris les 11 et 12 avril 2022 au Café de la Danse. Pour rire toute la nuit avec leurs incroyables détournements des classiques du rock.

Ramon Pipin a composé des musiques de films pour Albert Dupontel, Antoine de Caunes, Laurent Baffie, Christian Clavier, réalisé mille gags avec l’humoriste Camille Saféris, écrit aussi pour Renaud ( « Les aventures de Gérard Lambert » et « Mon beauf« ), et été proche de Coluche et de Desproges.

Que de références ! Mais il en est une à lui tout seul et le public ne s’y trompe pas, se précipitant à chacune de ses apparitions sur scène, dont les prochaines se tiendront les 11 et 12 avril 2022, avec toute sa troupe irrésistible de rigolos, au Café de la Danse.

 Les Excellents dans Ukulelum Trucidato Café de la Danse, Paris

Les Excellents dans Ukulelum Trucidato
Café de la Danse, Paris

Ramon Pipin est un artiste singulier qui a toujours su concilier exigence musicale, (im)pertinence des textes, sens aigu du spectacle-déconne et pratique à haute dose du politiquement déviant.

Il ne s’agit pas ici d’humour british, mais de l’humour bien franchouillard et iconoclaste que les Excellents nous distillent tout au long de leur spectacle. Quand « Highway to Hell » devient « Camion poubelle », on a vite compris le principe et si d’aventure on n’y adhère, alors on prend son pied d’un bout à l’autre du show sans discontinuer.

Sur scène, nos onze virtuoses massacreront avec opiniâtreté une cinquantaine de chefs-d’œuvre du rock, de Lou Reed aux Beatles, de Madonna à Kate Bush, de Hendrix à Prince… Avec eux, la richesse des arrangements retrouve sa fraîcheur au travers de réductions pour ukuleles, percussions de cuisine et cor de chasse. Un événement à réserver dès à présent ici.

Voici la reprise de Live and Let Die qui devient Je livre toutes les tailles sous les doigts des Excellents :

En concert au Café de la Danse à Paris les 11 et 12 avril 2022

Réservations

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Animal Triste dévoile son côté sombre avec « Afterlife »!

Avec Afterlife, le soleil noir de l’album « Night of the Loving Dead », Animal Triste poursuit l’exploration de son bestiaire électrique.

Ce soir, c’est pleine lune.


A PROPOS D’ANIMAL TRISTE

Animal Triste dévoile son côté sombre avec "Afterlife"!

Si l’animal est triste, il continue à danser, même dans le noir avec Afterlife ! Cette hydre à six têtes, émanation des  groupes  rouennais  La Maison Tellier et Darko réhabilite un rock totalement organique et électrique, racé et mélodique, parfois sombre mais qui ne sombre jamais dans la déprime.  Un rock intemporel, sans artifices, qui se frotte aux  fantômes du  passé  avec une  sincérité totale et un réel talent.

Animal Triste réunit Yannick Marais (chanteur de La Maison Tellier), Sebastien Miel (La Maison Tellier),  Mathieu Pigné (Radiosofa, Darko), Fabien Senay (Radiosofa),  David  Faisques (Darko) et Cedrick Kerbache (Dallas).


NOUVEL ALBUM DISPONIBLE

NIGHT OF THE LOVING DEAD

Animal Triste dévoile son côté sombre avec "Afterlife"!

« Le rock ne compte pas ses morts, il relève les blessés. Animal Triste est l’un d’eux, rescapé d’une guerre abrasive de  basse intensité,  comme si les  larsens faisaient  figure de derniers Mohicans. Reste l’énergie, l’envie – en vie.

Dans ce  nouvel album,  « Night of the loving dead »,  enregistré  dans la  pampa normande, on retrouve les références chères au groupe,  Nick Cave,  Sixteen Horsepower  ou The Black Angels, et surtout la collaboration spontanée de Peter Hayes  (Black Rebel Motorcycle Club), venu prêter ses guitares nocturnes.

Animal  Triste  certes,  on  comprend à l’écoute  « Night of the Loving Dead » que  l’époque n’est pas au rose-bonbon,  mais  la joie noire du rock perce la brume, à coups de voix  et  de sons   organiques,   trempés   dans  l’acide  ou lancinants,  toujours  sur  le  fil.   Du   vintage d’aujourd’hui, sûr que l’idée de combustion explosera sur scène. On y sera – pourvu que ça brûle.»

– Caryl Ferey