2003 : Raoul Petite > Dans ton Kulte





2003 : Raoul Petite > Dans ton KulteRaoul Petite nous revient « Dans ton Kulte, » qui mélange une nouvelle fois fanfare balkanique, funk groovy, ska, reggae, twist, rock et même hardcore.

Allez pour commencer un bon vieux rock alternatif avec « Faut y aller » oui mais où ? Ben vers le ragga de « Fouidom », avant de danser sur le ska de la fanfare balkanique de « Georges Cloné ».

Changement de décor avec le rock oriental rapé du « Sultan », suivi par le bon funk du titre éponyme de l’album « Dans ton kulte », qui laisse place au rock hardcore de « Bull is dead » pour finir dans votre bouche angoissée de « Mort maché ».

L’électro « Les poules » nous laisse bouche bée pour s’offrir au ska du sublime « Le muet ». « L’assassin » me laisse de marbre électro avant le hardcore « Molosse » pour me faire en solo un p’tit twist avec « Twé twiste », parce que je ne veux pas faire de ballade folk soul avec « You got no woman », un dernier p’tit reggae avec « Cé fini » !

Le groupe Raoul Petite tire son nom de l’album 200 Motels de Frank Zappa qui présente son bassiste entre deux titres sous le patronyme de Raoul Petite. C’est ainsi que le chanteur de la formation Christian Picard alias Carton explique la provenance du nom du groupe, alors que son compère de toujours, Frédéric Tillard, (guitariste, auteur, compositeur et aussi fan de Zappa) s’est séparé de cette bande de joyeux drilles à partir de cet album. Heureusement que Carton est un vieux qui déchire !

https://youtu.be/lk8moc-Hcf4

Paroles de « Dans ton culte » de « Raoul Petite »

(Oh yeah)
Chacun dans sa tanière, vit le monde a sa manière, à force d’avoir toujours raison,
Attention,
On devient vraiment con-vaincu, le doute a disparu.
A l’abri dans ma muraille, j’avais construit sans faille, mais avec trop d’habitudes toutes mes certitudes,
C’est rude
Et je l’ai mis la tête dans mon kulte (ouais pas mal)
Et je l’ai mis la tête dans mon kulte
Dans ton kul-te, victime de la dépendance à sa propre importance.
Dans ton kul-te, (yeah aw) c’est sur ce n’est pas une insulte.
Dans ton kul-te, victime de la dépendance à sa propre importance.
Dans ton kul-te (yeah aw) c’est sur ce n’est pas une insulte ;
Dans ton kulte, c’est sur, ce n’est pas une insulte, mais simplement ce qui résulte de la dépendance à sa propre importance
Bla bla bla bla bla bla
Car il ne sert í rien d’être le plus malin si c’est avec effroi que l’on regarde en soi, vers le ménage dans son sarcophage, me parait bien plus sage
En acceptant le risque d’un changement, c’est sur tu serais plus convaincant
Et tu éviterais la culbute dans ton kulte.
Dans ton kul-te, victime de la dépendance à sa propre importance,
Dans ton kul-te, (yeah aw) c’est sur ce n’est pas une insulte
Dans ton kul-te, victime de la dépendance à sa propre importance
Dans ton kul-te, (yeah aw) c’est sur ce n’est pas une insulte
(Merci beaucoup)
C’est vrai que j’voudrais faire des affaires sans jamais rien avoir à faire
Amasser de l’argent, avoir l’air interessant-te
Là c’est vrai tu pourras me dire
Dans ton kul-te, victime de la dépendance à sa propre importance,
Dans ton kul-te, (yeah aw) c’est sur ce n’est pas une insulte
Dans ton kul-te, victime de la dépendance à sa propre importance
Dans ton kul-te, (yeah aw) c’est sur ce n’est pas une insulte
(J’ai compris ce que vous dites) (T’es sur?)

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2001 : Manu Chao > Mr Bobby


Mr Bobby de Manu Chao sur "Proxima Estacion : Esperanza"Manu Chao en pleine forme et plein d’espoir nous propose à nouveau un patchwork musical, avec en plus de la musique latinos, du reggae (Mr Bobby) et du rock, des rythmes orientaux et un soupçon de jazz pour cette nouvelle escale de « Proxima Estacion : Esperanza« .

La fusion musicale enjouée de Radio Bemba où se côtoie les cuivres de « Bixo-Eldorado 1997 » ou de « La Chinita », le tempo de « Me gustas tu » ou de « Merry Blues », sans parler de l’hommage à « Mr Bobby » Marley ou de l’escale dans les îles avec l’envoûtant « Papito », vous invite à danser irrémédiablement et seuls les unijambistes ont du mal à se lever et encore.

Et puis, il y a aussi tout le reste, qui se savoure sans modération, une addiction !

Le bonheur que dégage cet album est communicatif, si ce n’est contagieux. Votre seul vaccin à ce carnet de route est de boire un p’tit punch et de fermer les yeux pour vous retrouver sous une chaleur moite au cœur de l’Amérique du sud.



Les cris joyeux des enfants sur fond radiophonique se mêlent à la mosaïque de rythmes festifs jusqu’à la mélancolie hypnotique lorsque le shooter est vide…

Mais l’ivresse des voyages m’enivre avec légèreté pour appuyer d’un doigt fébrile sur play et de repartir pour 45mn de soleil dans mon cœur, allez un dernier p’tit coup… de Bob Marley avec cet hommage enregistré à Bayonne, c’était comment dire, légèrement LA FETE

Paroles de Mr Bobby sur « Proxima Estacion : Esperanza ».

(je ne traduis pas)

Sometimes I dream about reality.
Sometimes I feel so gone.
Sometimes I dream about a wild wild world.
Sometimes I feel so lonesome.
(refrain)
Hey Bobby MARLEY
Sing something good to me
This worl go crazy…
It’s an emergency…
Tonight I dream about fraternity
Tonight I say : One day!
One day my dreams will be reality
Like Bobby said…to me…
(refrain)bis
Tonight I watch through my window
And I can’t see no light
Tonight I watch through my window
And I can’t see no rights…

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