The Pretty Things

The Pretty Things est un groupe de rock anglais, formé à Londres en 1963  qui tire son nom de la chanson « Pretty Thing » de Willie Dixon en 1955 (reprise par Bo Diddley et Canned Heat). Il s’agit d’un groupe qui a sorti plusieurs singles de Rythm and Blues pur et dur au Royaume-Uni à ses débuts et qui s’est ensuite dirigé vers le Rock Psychédélique à la fin des années 1960 (leur album S.F. Sorrow de 1968 est l’un des premiers albums opéras rock avant les Who) puis le Hard-Rock au début des années 1970 (Led Zeppelin les considère comme leur groupe préféré) et la New-Wave au début des années 1980. Malgré ces évolutions, le groupe n’a jamais réussi à renouer avec le succès commercial de ses toutes premières années.

The Pretty Things en bref

Pionniers d’une approche brute du rythme et du blues (et plus tard de la psychédélique) leur musique influencera un certain nombre de groupes phares de l’invasion britannique (Brit Blues Invasion ou British Blues Boom) des années 1960, en particulier les Rolling Stones et David Bowie pour qui Phil May fut le premier héros.

The Pretty Things initialement Little Boy Blue and the Blues Boys étaient composés de Dick Taylor, Keith Richards et Mick Jagger, des étudiants du Sidcup Art College. Lorsque Brian Jones se joint à eux comme guitariste, Dick Taylor passe alors à la basse puis les Rolling Stones se sont formés.

Quelques mois plus tard, Dick Taylor quitte les Rolling Stones nouvellement formés pour poursuivre ses études lorsqu’il est accepté à la London Central School of Art où il rencontre Phil May et ils montent ensemble le groupe The Pretty Things, Dick Taylor à la  guitare préférée et Phil May au chant et à l’harmonica, recrutent Brian Pendleton à la guitare rythmique, John Stax à la basse puis après avoir auditionné quelques batteurs différents, dont Pete Kitley et Viv Andrews, ils choisissent Viv Prince pour compéter le line-up.

Dès leurs débuts ils font sensation en Angleterre en 1964-1965 et leurs trois premiers singles « Rosalyn », « Don’t Bring Me Down » et « Honey I Need » entre dans dans le hit-parade des singles outre Manche. Le succès du groupe se confirme en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Allemagne et aux Pays-Bas au milieu de la décennie mais jamais au USA. Malgré tout The Pretty Things avec The Yardbirds et Them de Van Morrison ont influence énorme sur des centaines de groupes de garage-rock comme MC5 et The Seeds pour ne citer qu’eux.

Les premiers morceaux de Pretty Things s’inscrivent dans le blues-rock pur jus influencé par Bo Diddley et Jimmy Reed un peu comme celui de leurs contemporains The Rolling Stones et The Yardbirds. Leurs prestations scéniques se font remarquer par leur comportement « rock and roll sauvage » choquant pour l’époque, leur titre « Midnight to Six Man » est un jalon important de la révolution culturelle des sixties.

Viv Prince quitte le groupe à la fin 1965, premier d’une longue série de changements d’effectif, il est remplacé par Skip Alan. Brian Pendleton s’en va fin 1966 suivi de John Stax au début de l’année suivante. Jon Povey et Wally Waller intègrent The Pretty Things qui devient un quintet.

Après s’être essayé à la pop mainstream sur l’album Emotions en 1967, le groupe se tourne vers le rock psychédélique et sort le concept album révolutionnaire S.F. Sorrow en 1967-68. Cet album qui sort fin 1968 est sans nulle doute l’un des premiers opéras rock, précédant Tommy des Who d’environ un an. Il a été enregistré dans les légendaires studios Abbey Road six mois après le fameux Sgt Pepper’s Lonely Hearts Club Band des Beatles et The Piper at the Gates of Dawn, le premier album de Pink Floyd. Chaque album a en commun un son psychédélique typique de la fin des années 60 et le même producteur que les Floyd en la personne de Norman Smith.

S.F. Sorrow est suivi de l’album Parachute qui poursuit dans le style psychédélique, très bien accueilli puisqu’il est même désigné « Album de l’année » en 1970 par le magazine Rolling Stone. Pendant cette période, The Pretty Things enregistrent également l’album The Acetate exclusivement pour un jeune millionnaire français, Philippe DeBarge, qui n’est destiné qu’à circuler dans son cercle social mais cet opus a depuis été piraté et diffusé, on le trouve aussi sur le net à présent.

À partir de là, le groupe commence hélas à décliner commercialement mais il continue de jouir d’un dévouement presque mystique de la part de ses fans, de la critique mais également d’autres musiciens et groupes rock. Au début des années 1970, leurs morceaux se rapprochent d’avantage du hard-rock et du heavy-metal balbutiant avec cependant toujours une teinte de blues comme sur l’albums Silk Torpedo.

Dans les années 80, Cross Talk contient des influences Punk et New Wave dans leur son hard-rock mais comme la plupart de leurs albums c’est une fois de plus un succès artistique mais absolument pas commercial.

Après l’arrivée d’un nouveau manager, Mark St John, The Pretty Things jouent sporadiquement dans les années 80. À la fin de la décennie, complètement oublié du grand public, les membres fondateurs Phil May et Dick Taylor décident de réformer le groupe avec le batteur Hans Waterman (ex membre du groupe rock néerlandais Solution), le bassiste Roelf ter Velt et le guitariste/claviériste Barkley McKay (ex Waco Brothers, ex Pine Valley Cosmonaut’s) et se lance dans une tournée européenne de blues à la fin de 1990 avec Chicken Shack de Stan Webb et Luther Allison qui leur permet de renouer avec le succès. Ce combo effectue régulièrement des tournées en Europe avec un show revitalisé qui met en scène leur bon vieux blues/r’n’b roots jusqu’à la fin de 1994.

En 1995 ils reconstituent le line up de l’époque Cross Talk (78) avec l’ajout de Frank Holland à la guitare à la place de Peter Tolson. Leur label, Snapper Music, sort opportunément des CD remasterisés avec de nombreux titres bonus, ainsi qu’un DVD d’un réenregistrement de S.F. Sorrow aux célèbres studios Abbey Road (avec leur amis Dave Gilmour & Arthur Brown en guests ). Dans la foulée The Pretty Things enchaîne des tournées dont une aux États-Unis pour la première fois depuis des décennies.

Au début des années 2000, le groupe publie de nouveaux enregistrements, dont un album live et l’album studio Rage Before Beauty.

Le guitariste rythmique Brian Pendleton meurt d’un cancer du poumon le 16 mai 2001.

À ce jour le groupe poursuit gentiment sa carrière continue de tourner en Europe et aux États-Unis.

Membres actuels de Pretty Things

Phil May (né Phillip Arthur Dennis Kattner) – chant, maracas, harmonica
Dick Taylor (né Richard Clifford Taylor) – guitare, occasionnellement chant
Frank Holland – guitare, chant, harmonica
Jack Greenwood – batterie
George Woosey – basse, chant

Anciens membres

Brian Pendleton – guitare, chœurs, basse
John Stax (né John Edward Lee Fullegar) – basse, harmonica, chœurs
Pete Kitley – batterie
Viv Andrews – batterie
Viv Prince (née Vivian St John Prince) – batterie
Skip Alan – batterie
Wally Waller – basse, guitare, chant
Jon Povey – claviers, chant
Twink – batterie
Victor Unitt – guitare
Pete Tolson – guitare
Stuart Brooks – basse
Gordon John Edwards – guitare, claviers, chant
Jack Green – basse, chant
Simon Fox – batterie
Joe Shaw – guitare
Dave Wintour – basse
Dave Wilki – claviers
John Clark – batterie
Kevin Flanagan – saxophone
Perry Margouleff – guitare
Doede Ter Veld – batterie
Roelf Ter Veld – basse
Bertram Engel – batterie
Mark St. John – batterie, percussions
Steve Browning – basse
Hans Waterman – batterie
Barkley McKay – guitare

Discographie de The Pretty Things

Albums studio

1965 – The Pretty Things
1965 – Get the Picture?
1967 – Emotions
1968 – S.F. Sorrow
1970 – Parachute
1972 – Freeway Madness
1974 – Silk Torpedo
1976 – Savage Eye
1980 – Cross Talk
1999 – … Rage Before Beauty
2007 – Balboa Island
2015 – The Sweet Pretty Things (Are in Bed Now, of Course…

Albums Live

1984 – Live at Heartbreak Hotel
1988 – Out of the Island
1998 – Resurrection (S.F. Sorrow en live aux studios Abbey Road avec Arthur Brown et David Gilmour)
2002 – The BBC Sessions
2014 – Live at the 100 Club (1er album enregistré en live)
2015 – Live at the BBC
2015 – Live at Rockpalast

The Pretty Things alias Electric Banana

Electric Banana est un album éponyme du groupe en 1967. Lors de la sortie de l’album, le nom de scène Electric Banana sert à masquer son identité. Le groupe a enregistré cet album et deux autres pour la De Wolfe Music Library qui a fourni de la musique de film pour des B.O.F.

La musique d’Electric Banana s’est retrouvée dans divers films d’horreur ou érotiques de la fin des années 60, comme What’s Good for the Goose en 1969. La chanson « It’ll Never Be Me » pour Doctor Who en 1973 (The Green Death). La chanson « Cause I’m a Man » est apparue dans le film d’horreur classique Dawn of the Dead de George A. Romero en 1978, rééditée sur la compilation Dawn of the Dead : The Unreleased Incidental Music de Trunk Records en 2004.

1967 – Electric Banana
1968 – More Electric Banana
1969 – Even More Electric Banana
1973 – Hot Licks
1978 – The Return of the Electric Banana

Autres collaborations

En tant que Pretty Things & the Yardbird Blues Band (May et Taylor avec Jim McCarty des Yardbirds)

1991 – The Chicago Blues Tapes 1991
1993 – Wine, Women & Whiskey

En tant que Pretty Things & Friends (May et Taylor avec des membres de The Inmates et Matthew Fisher de Procol Harum)

1992 – Rockin’ the Garage

En tant que Pretty Things & Philippe Debarge

2009 – The Pretty Things/Philippe DeBarge (enregistré en 1969)

Compilations

1975 – Greatest Hits 1964–1967
1976  – Real Pretty  (double album, rééditions de S.F. Sorrow et Parachute)
1976 – The Vintage Years
1977 – The Singles As & Bs
1982 – 1967–1971
1983 – Let Me Hear the Choir Sing
1985 – Closed Restaurant Blues
1986 – Cries From the Midnight Circus – The Best of 1968–1971
1992 – Get a Buzz: The Best of the Fontana Years
1995 – Unrepentant – The Anthology
1997 – The EP Collection
2000 – Midnight to Six Man
2000 – Latest Writs, Greatest Hits
2001 – The Rhythm & Blues Years
2001 – The Psychedelic Years 1966–1970
2004 – Still Unrepentant
2004 – Come See Me: The Very Best of the Pretty Things
2013 – Singles ’64
2013 – Introducing the Pretty Things
2015 – The Decca Years 1965-1967
2015 – Bouquets From a Cloudy Sky

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Whitesnake


Whitesnake - MazikWhitesnake est un groupe de hard rock anglais, fondé en 1978 par le chanteur David Coverdale (ex Deep Purple) dans le North Yorkshire au Royaume-Uni. Le line-up actuel du groupe est complété par Tommy Aldridge, Reb Beach, Michael Devin, Joel Hoekstra et Michele Luppi.  Le line-up du groupe a été modifié d’innombrables fois (voir la liste impressionnante de musiciens ayant été membre de Whitesnake à un moment ou à un autres de son histoire, en bas de page) mais David Coverdale demeure le cœur et l’âme du groupe depuis sa création.

Whitesnake en bref

À ses débuts, Whitesnake pratique un style blues rock et heavy metal influencé par le blues. Au milieu des années 80, le groupe s’oriente vers un style rock et pop métal plus commercial engendrant des succès majeurs tels que « Love Ain’t No Stranger », « Now You’re Gone », « Slide It In », « Still of the Night » et le morceau emblématique « Here I Go Again » (probablement le titre phare du groupe). Ils ont été désignés comme le 85ème plus grand groupe de hard rock de tous les temps par VH1.

https://youtu.be/Y026ouYox4k

Whitesnake est surtout actifs dans les années 80 mais ils tournent toujours près de quarante ans plus tard mais plus avec les mêmes musiciens hormis David Coverdale. Parmi les musiciens les plus célèbres qui ont fait un passage au sein de Whitesnake on peut mentionner Jon Lord, Ian Paice, Jimmy Page, Cozy Powell, Steve Vai et l’un de mes batteurs préférés, Simon Phillips.

Les premiers morceaux du groupe ont forcément été comparés à Deep Purple par la critique. Pas uniquement parce que trois anciens membres du groupe en sont issu mais aussi en raison de leur son et de leurs influences. Plus tard, le style de Whitesnake groupe prend une tournure plus hair metal en vogue au milieu à la fin des années 80 sans toutefois renier et abandonner leurs racines heavy et blues rock.

Formé en 1978 par David Coverdale après avoir quitté Deep Purple, Whitesnake était à l’origine un groupe de hard-rock avec à ses côtés Jon Lord et Ian Paice. Malgré quelques sorties d’albums et des tournées constantes, Whitesnake n’a jamais réussi à s’imposer commercialement aux États-Unis avec des critiques plutôt mitigées, ce qui fut en revanche le cas au Royaume-Uni, en Europe et au Japon.

Whitesnake - MazikAprès sa rencontre avec Chris Cuttler, Fred Frith et surtout le jeune guitariste John Sykes, David Coverdale décide de se diriger vers un son plus lisse et plus « radio friendly ». C’est en 1984 que Whitesnake fait son premier grand retour aux USA avec l’album Slide It In, et le single éponyme ainsi que les titres rock « Slow An’ Easy » et « Love Ain’t No Stranger ». Ils sont tous les trois sont largement diffusés et acclamés par les fans.

Whitesnake - MazikTrois ans plus tard, le groupe devient incontournable avec son album Whitesnake (intitulé ‘1987’ en Europe et ‘Serpens Albus’ au Japon). Il contient des tubes tels que « Here I Go Again », « Is This Love », « Still of the Night » entre autres et s’écoule à plus de 10 millions d’exemplaires. David Coverdale remplace tout l’effectif du groupe pour la tournée qui suit,  les guitaristes Adrian Vandenberg et Vivian Campbell succèdent à John Sykes. Le bassiste Rudy Sarzo et le batteur Tommy Aldridge complète la formation.

Whitesnake - MazikVivian Campbell démissionne peu après la tournée, pour remplacer Steve Clark chez Def Leppard. Adrian Vandenberg qui a pourtant écrit la plupart des morceaux de l’album suivant, n’est hélas pas en mesure d’enregistrer en raison d’une blessure au poignet. C’est le virtuose de la guitare Steve Vai qui est engagé pour enregistrer toutes les parties de guitare de Slip of the Tongue, album qui sort au printemps 1989. Malgré son statut de disque de platine, l’album n’atteint pas les sommets stratosphériques de l’album précédent. Acablé par des problèmes personnel dont un divorce ainsi que l’essor du mouvement rock alternatif grunge au détriment du rock mélodique, David Coverdale décide de dissoudre Whitesnake.

Whitesnake - MazikA la fin des années 90, David Coverdale et Adrian Vandenberg décident finalement d’enregistré à nouveau ensemble. Initialement enregistré pour devenir un album solo de David Coverdale, le nom de Whitesnake y est rattaché (un peu comme les projets Tony Iommi/Black Sabbath de la fin des années 80). Il en est résulté un nouvel album studio intitulé Restless Heart et le set acoustique live, Starkers In Tokyo.

Whitesnake - MazikAu début des années 2000, David Coverdale réactive Whitesnake avec une toute nouvelle formation autour des guitaristes Reb Beach et Doug Aldrich (précédemment de Winger et Lion/Dio). Ce line-up se lance dans de multiples tournées à travers le monde, qui aboutissent à la sortie du DVD Live In the Still of the Night et Live… In the Shadow of the Blues sur CD en 2006. L’album studio Good to be Bad est publié quant à lui en 2008 et s’est classé parmi les 10 meilleurs albums du Royaume-Uni.

Au cours des dernières années, David Coverdale s’est impliqué dans un projet de remasterisation des albums Trouble de 1978 jusqu’à Slip of the Tongue de 1989 réédité avec des bonus.

Forevermore est sorti le 25 mars 2011 en Europe et quatre jours plus tard en Amérique du Nord suivi de plusieurs tournée dont six dates au Royaume-Uni et d’autres dates européennes. En février 2011, Whitesnake est annoncé en tête d’affiche du festival annuel Rocklahoma à Pryor en Oklahoma, le week-end du Memorial Day (qui se déroule traditionnellement le dernier lundi du mois de mai). L’événement est précédé d’un single ‘Love Will Set You Free’ et d’un clip sur internet le 21 février.

https://youtu.be/TOwd30wXc-0

Whitesnake - MazikL’album Forevermore est sorti en édition spéciale dans le magazine Classic Rock le 25 mars, 3 semaines avant sa sortie officielle. Le fan pack comprend l’album, un magazine de 132 pages, une affiche et un badge. Le 20 mars 2011, Whitesnake annonce que le claviériste Brian Ruedy rejoindrai le groupe pour la tournée Forevermore World Tour.

Whitesnake - MazikEn février 2015 Whitesnake déclare que The Purple Album contiendrait des chansons réenregistrées de Deep Purple de l’époque Coverdale.  En avril le chanteur et instrumentiste italien Michele Luppi (Secret Sphere, anciennement Vision Divine) est annoncé comme leur nouveau claviériste et choriste, en remplacement de Brian Ruedy. L’album se classe 18ème place dans les charts britanniques et entre au 84ème rang du Billboard 200 Étasunien.

L’été de l’année suivante Whitesnake se lance dans une tournée mondiale baptisée The Greatest Hits.

En septembre 2017, le groupe annonce la sortie d’un nouvel album intitulé Flesh & Blood au printemps 2018,  repoussé à l’été 2018 et finalement reporté à février 2019 pour des raisons « techniques ». Après s’être excusé auprès de ses fans pour le retard, le groupe de David Coverdale s’est lancé dans une tournée Flesh & Blood World Tour pour coïncider avec la sortie de l’album qui, espérons le, ne fera la l’objet d’une nouvelle procrastination…

Membres actuels de Whitesnake

David Coverdale – chants, piano, percussion
Tommy Aldridge – batterie, percussions
Reb Beach – guitare, chœurs
Michael Devin – basse, harmonica, chœurs
Joel Hoekstra – guitare, chœurs
Michele Luppi – clavier, chœurs

Autres musiciens étant passés chez Whitesnake au fil des ans

Adrian Vandenberg – guitare
Aynsley Dunbar – batterie
Bernie Marsden – guitare
Bill Cuomo – claviers
Brett Tuggle – claviers
Brian Johnston – claviers
Brian Ruedy – clavier
Brian Tichy – batterie
Chris Frazier – batterie
Colin Hodgkinson – basse
Cozy Powell – batterie
Dann Huff – guitare
Dave Dowle – batterie
DeLisle Harper – basse
Denny Carmassi – batterie, percussion
Derek Hilland – claviers
Don Airey – claviers
Doug Aldrich – guitare
Guy Pratt – basse
Ian Paice – batterie
Jimmy Page – guitare, basse
John Sykes – guitare
Jon Lord – claviers
Jorge Casas – basse
Lester Mendel – claviers, percussion
Marco Mendoza – basse
Mark Andes – basse
Mel Galley – guitare solo, chœurs
Mick Moody – guitare
Neil Murray – basse
Paul Mirkovich – claviers
Peter Solley – claviers
Richard Bailey – claviers
Ricky Phillips – basse
Roger Glover – basse
Ron Aspery – saxophone
Rudy Sarzo – basse
Simon Phillips – batterie
Steve Farris – guitare
Steve Vai – guitare
Tim Hinkley – claviers
Timothy Drury – claviers
Tony Franklin – basse
Tony Newman – batterie
Uriah Duffy – basse
Vivian Campbell – guitare
Warren DeMartini – guitare

Discographie de Whitesnake

Albums studio

1978 – Snakebite
1978 – Trouble
1979 – Lovehunter
1980 – Ready an’ Willing
1981 – Come an’ Get It
1982 – Saints and Sinners
1984 – Slide It In
1987 – Whitesnake
1989 – Slip of the Tongue
1997 – Restless Heart
2008 – Good to Be Bad
2011 – Forevermore
2015 – The Purple Album

Albums Live

1978 – Live at Hammersmith
1980 – Live…in the Heart of the City
1998 – Starkers in Tokyo
2006 – Live: In the Shadow of the Blues
2013 – Live: made in Japan

Compilations

1981 – The Best of Whitesnake
1994 – Whitesnake’s Greatest Hits
2000 – The Millennium Collection: The Best of Whitesnake
2000 – Best Ballads
2002 – Here I Go Again: The Whitesnake Collection
2003 – Best of Whitesnake
2003 – The Silver Anniversary Collection
2004 – The Early Years
2006 – The Definitive Collection
2006 – Gold: Whitesnake
2008 – 30th Anniversary Collection
2018 – Unzipped: Acoustic Adventures

Site Web : www.whitesnake.com

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