Le premier album du groupe de Rennes Moonwise «Common Ground» (Turn ! Turn ! Turn !) sorti le 8 octobre 2021 flirte avec plusieurs styles : jazz, funk, soul, pop…
Moonwise est un quintet rennais porté par une rythmique basse-batterie au groove obsédant, une guitare incandescente, des claviers vintages et un chant hypnotique.
Depuis sa formation en 2018, le groupe breton aiguise sa pulsation et cisèle ses arrangements, mêlant savamment groove, pop et jazz au service d’une partition sensuelle d’où émerge une émotion éruptive.
La recherche acharnée d’une soul moderne entraîne leur projet vers un continent singulier et envoûtant, porté par un songwriting raffiné entre poésie urbaine, amours évanouies et méditations engagées.
Leur musique naît d’influences communes, puisant dans l’afro-jazz londonien, le funk US, et la pop-folk de la fin des années 60. Teintée de trip-hop acoustique à la Portishead et d’afrobeat à la Kokoroko, sa couleur rappelle les débuts de Jamiroquai. La recherche passionnée d’une soul moderne entraîne leur projet vers un continent singulier et envoûtant.
Porté par un songwriting élégant entre poésie urbaine, amours évanouies, et méditations engagées, Moonwise invite à un périple introspectif et questionne les dérives du monde contemporain.
Après un premier EP éponyme paru en 2020 découvrez dès aujourd’hui leur premier album « Common Ground« .
Le saxophoniste Rodolphe Lauretta joue avec les influences du hip-hop, de la musique caribéenne et du funk. Le 15/10, il revient avec l’album Kreolia chez Cristal Records, un disque événement qui replace le jazz au cœur du monde actuel.
L’album se révèle fédérateur sans sacrifier la sophistication de l’écriture et l’expérimentation, signatures du compositeur. On y entend le rappeur MED, acolyte de Madlib et Aloe Blacc, la chanteuse Genevieve Artadi (Knower), récente signature du fameux label Brainfeeder, le vétéran Dwight Trible et la chanteuse pop-rock française Ruppert Pupkin. Un festin auditif duquel ressortent aussi des perles instrumentales : un hommage galvanisant à Roy Hargrove, une reprise d’Alain Jean-Marie arrangée en mode broken-beat et bien d’autres échappées.
Saxophoniste audacieux, Rodolphe Lauretta développe une esthétique reflétant ses cultures d’origine au service du patrimoine universel. » JACQUES SCHWARZ-BART
On peut déjà savourer trois extraits de l’album : Haïti, reprise du pianiste guadeloupéen Alain Jean-Marie, Anticipation, avec la chanteuse californienne Genevieve Artadi et enfin The Roy, hommage à Roy Hargrove.
Un album jouissif et précurseur dans sa contemporanéité et les passerelles qu’il crée entre les genres.
Enregistré par Vincent Barcelo à l’Alhambra Studios, Rochefort (17).
Mixé par Inbloom.
Masterisé par Alexis Bardinet à Globe Audio, Bordeaux (33).
LINE UP
Rodolphe Lauretta : saxophone alto, tenor & flûte Timothée Bakoglu : synthés, rhodes, orgue Hammond, piano Emmanuel Camy : basse, moog (sauf Haïti) Laurent Emmanuel “Tilo” Bertholo : batterie, percussions (sauf Haïti) Olivier Laisney : trompette (sauf Haïti, We All Are One, Mashupdistage) Kiala Ogawa : synthés, moog, programmation Roger Raspail : percussions (We All Are One) Jî Drû : flûte (We All Are One)
Invités : Genevieve Artadi : chant (Anticipation) Dwight Trible : chant (We All Are One) Ruppert Pupkin : chant (Sauvée) MED aka Medaphoar : rap (Brazilian Truth)
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