Tilmann, un songwriter renversant à écouter avec son 1er EP Chrysalis

Tilmann - fall

Tilmann dévoile Chrysalis, son premier EP de six titres, à paraître le 27 mai, avec déjà un clip envoûtant, Fall, que l’on vous propose en bas d’article.

Tilmann est un guitariste, auteur et compositeur originaire de Bretagne. Il y a quelques années, il a porté sur de nombreuses scènes son hommage au compositeur culte Jackson C. Frank.

Tilmann (Volz), chanteur/guitariste de la scène folk nantaise, se lance aujourd’hui en solo après nous avoir  fait découvrir Jackson C. Frank. L’unique album de ce compositeur méconnu et trop tôt disparu, “Blues run the game” (1965), à la frontière du folk et du blues, a inspiré de nombreux musiciens de sa génération, parmi lesquels Paul Simon et Nick Drake. Entre hommage fidèle et réarrangement, le spectacle de Tilmann se voulait une parenthèse dans les 60’s du monde folk.

Aujourd’hui, c’est avec six titres composé par ses soins que Tilmann nous revient. Enregistré à quatre musiciens, la folk de Tilmann se pare d’arrangements acoustiques splendides et mélancoliques.

Tilmann - Fall (Official Music Video)
Tilmann – Fall (Official Music Video)

Le premier extrait de Chrysalis s’appelle Fall, un titre qui alterne entre regrets et espoirs.

« The trees, they have all turned gold

the houses they’ve grown old

You see the wrinkled eyes of old folks, they mean you’ve been gone too long… » extrait du titre Fall

Tilmann honore son goût de la rencontre en partageant l’interprétation avec trois musiciens qui enrichissent les chansons de leurs couleurs singulières, à la croisée d’univers trad, jazz et musiques du monde : Pierre Lenormand (batterie), Rémi Allain (basse et contrebasse), Pierre Thary (violoncelle et trompette).

Ensemble ils nous font entrer dans le cercle, pour raconter à plusieurs voix ces histoires de voyage, de famille, de nature. Cet album-cocon nous enveloppe, et nous aide à rêver. On écoute le premier extrait, Fall, et son clip qui marque un passage ou une renaissance, avec la métaphore d’une barque pour un nouveau départ.

Voici Fall à découvrir en clip :

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Gunwood nous livre un hymne à l’amour avec ‘Share A Little Freedom’

Gunwood est une groupe folk-rock basé à Paris. Il nous livre un hymne à l’amour avec le morceau « Share A Little Freedom ».

À quoi  bon  choisir  entre poésie  folk et puissance rock, entre liberté des seventies et tranchant des nineties, entre  harmonies irlandaises et reliefs américains quand on peut tout entremêler et créer ainsi de nouvelles boutures ? Gunnar Ellwanger (chant, guitare), Jeff  Preto  (basse, chant), David Jarry Lacombe (batterie, chant) : la sève de Gunwood se distille à trois depuis les premiers pas  d’un  groupe qui, dans le sillage d’ensorceleurs des  années 2010 comme  Alabama Shakes, Feist ou les Black Keys, s’impose aujourd’hui en ciseleur de   vibrations   marquantes.  Fort de  la ribambelle d’éloges et de concerts qui  avait  logiquement suivi la sortie du saisissant  Traveling Soul” en 2017, le trio revient avec un nouvel album tout aussi captivant Dream Boat Jane, dès aujourd’hui dans les bacs !

Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, le groupe nous régale aussi d’un nouveau clip : Share A Little Freedom. Véritable poésie visuelle façon Wes Anderson, cette vidéo réalisée par Matthieu et Samuel Berner, capture toute l’essence du titre : son onirisme, sa positivité et son irrésistible romantisme.

« Share a Little Freedom »  est un hymne à l’amour, au partage  et à la liberté en toute simplicité. La chanson nous rappelle que la vie est faite de connections, elle célèbre les rencontres d’un soir ou d’une vie, ainsi que toute la créativité qui peut en naître. Gunnar Ellwanger


NOUVEL ALBUM DISPONIBLE

DREAM BOAT JANE

 

Gunwood nous livre un hymne à l'amour avec "Share A Little Freedom" - Mazik

Enregistré aux prestigieux studios ICP à Bruxelles et réalisé avec Jean Lamoot (Noir Désir, Alain Bashung, Brigitte Fontaine…),  “Dream Boat Jane”  concrétise  la  maturité  acquise  par  un trio dont  l’approche à  la fois enracinée et grande ouverte sur son époque lui permet de créer une musique  devant  laquelle  s’effacent  les  étiquettes  au  profit de la profondeur des vibrations.

Quand le musclé Changing out there nous empoigne en pointant l’imprévisibilité de l’existence, c’est nimbé de la respiration haletante d’une guitare folk. Et si Gunwood exulte tout riff dehors sur les  tendus  Shades  et  Rude  thing, il relâche la pression en assumant un nouveau versant à travers  plusieurs  morceaux  inspirés  par des femmes. De l’enjoué Share a little freedom à une berceuse  écrite  au  moment  du  premier  confinement  (Good night song),  en  passant  par le saisissant  Grow  (« qui  parle  d’accepter les imperfections de l’amour, de la vie »),  le  salutaire Bonfire  («  qui  reprend  l’imaginaire  du feu de joie de certaines fêtes païennes, ce symbole de brûler le  passé  pour ouvrir un nouveau chapitre. ») et la célébration du hasard des rencontres dans  Sunny eye. « Dans le premier album, je ne m’étais pas autorisé ce genre de titres, précise Gunnar.  Je  me  disais qu’un  texte  sans souffrance n’avait pas de valeur. Là, il y a un côté plus direct, en prise avec l’émotion que je suis en train de vivre. Ce sont des moments importants à partager en live, qui feront beaucoup de bien. »


REVOIR LE CLIP DE DREAM BOAT JANE

Dream Boat Jane” : voilà un titre intriguant, comme ce doux visage qui vous happe dans le clip. « Dreamboat en un mot, c’est beau gosse ou belle gosse. Et en deux mots c’est le bateau de rêve qui  t’embarque  ailleurs »,  confie  Gunnar (le chanteur de Gunwood).  Jane, c’est un personnage fictif.  C’est  la  fille qui arrive à se défaire du monde réel en clignant des yeux telle  Alice au pays des   merveilles,   mais   aussi   celle   qui  te  fait  oublier  tes  soucis.  Elle  représente  toutes  les échappatoires  existantes. Avec    ce  clip  réalisé  par  Auréliane  Camps  on  entre  dans  un  univers  intérieur  poétique  et contemplatif,  un  voyage  de décors en décors à contre-sens de l’absurdité du monde. C’est une ode  à  l’évasion  qui  s’appuie  sur  une  fièvre  boogie  blues  et  le tranchant d’une guitare slide pour s’élancer, comme grisée par plus de liberté.