Emerson, Lake and Palmer

Emerson, Lake and Palmer (également appelé E.L.P.) est un supergroupe britannique de rock progressif, de rock symphonique et d’Art Rock fondé en 1970 à Croydon au sud de Londres par Keith Emerson, Greg Lake et Carl Palmer. Ils ont rencontré le succès dans les années 1970, vendu plus de quarante millions d’albums et joué dans les plus grandes salles et les stades du monde entier. Parmi les succès d’E.L.P. on peut citer « Lucky Man », « Jerusalem »,  « C’est la Vie » ou « From the Beginning ».

Emerson, Lake and Palmer en bref

À 16 ans Keith Emerson est passionné de musique, il commence à jouer de l’orgue Hammond et en 1963 il fonde son premier groupe de jazz, The Keith Emerson Trio.

En 1964 Keith Emerson rejoint le groupe John Brown’s Bodies puis en 1965 Gary Farr & the T-Bones, en 1966, il intègre les V.i.p’s et enfin en 1967 il crée un nouveau groupe The Nice.

Par deux fois The Nice et King Crimson partagent la même scène le 10 août 1969 au 9ème Jazz & Blues Festival de Plumpton puis le 17 octobre 1969 au Fairfield Hall de Croydon en Angleterre. C’est là que Keith Emerson fait la connaissance de Greg Lake qui est alors membre de King Crimson. Les deux hommes sympathisent, commencent à travailler ensemble et trouvent que leurs styles ne sont pas seulement compatibles mais carrément complémentaires.

Keith Emerson a en tête de former le « meilleur trio du monde » et considère que le line-up de The Nice (clavier, basse, batterie) est la voie à suivre. Il ne lui reste plus qu’à trouver un batteur et avant de recruter Carl Palmer (ex-Atomic Rooster, ex-The Crazy World of Arthur Brown) il contacte Mitch Mitchell du Jimi Hendrix Experience qui décline la proposition mais souffle l’idée à Jimi Hendrix.

Ce dernier lassé par son groupe et souhaitant tenter une nouvelle expérience, exprime son intérêt à se joindre au groupe. La presse britannique s’en fait l’écho en spéculant que ce supergroupe  pourrait s’appeler HELP (Hendrix, Emerson, Lake, Palmer). Pour des raisons d’agenda cela ne se fait pas immédiatement mais le trio effectue tout de même une jam avec Hendrix au Festival de l’île de Wight le 29 août 1970 où ils font un triomphe. Hélas il n’y aura pas de suite à ce « carré magique » puisque Jimi Hendrix décède moins d’un mois plus tard, le 18 septembre. Emerson, Lake et Palmer poursuivent l’aventure sous forme de trio.

Le son particulier d’E.L.P. est dominé par l’orgue Hammond et le synthétiseur Moog du flamboyant Keith Emerson dont les compositions sont fortement influencées par la musique classique et le jazz, surtout dans les premières années, et par la suite un peu plus par le hard rock. Un grand nombre de leurs morceaux contiennent des extraits arrangés de pièces de musique classique ce qui fait du groupe un pionnier du sous-genre appelé aujourd’hui le rock symphonique.

Greg Lake quant à lui veillera toujours à intégrer des ballades plus pop, moins complexes et surtout plus accessibles au grand public. Un grand nombre de ces morceaux sont diffusés par les radios. En plus de composer les textes, de chanter, de jouer de la basse et de la guitare, Greg Lake est également le producteur des cinq premiers albums d’Emerson, Lake and Palmer.

La période la plus faste du groupe en terme de créativité fertile sont les quatre premières années. Le premier album éponyme sort en 1970, il contient le tube « Lucky Man », Tarkus, leur premier concept-album qui raconte le combat d’une créature mi-tatou, mi-tank pour sa survie, est publié en 1971.

La pochette de ce deuxième opus sur laquelle on voit le Tarkus est réalisée par l’artiste William Neal qui retravaillera avec le groupe sur Pictures at an Exhibition.

Cet album a toutefois bien failli capoter car initialement Greg Lake refuse de jouer le morceau titre en menaçant même de claquer la porte mais Keith Emerson qui use de diplomatie réussit à le convaincre de tenter l’expérience. Ce titre de plus vingt minutes prend toute la face A du 33 tours. L’album se se vend à plus de deux millions d’exemplaires et personnellement c’est par Tarkus que j’ai découvert E.L.P. au milieu des années 70…

L’enregistrement live de mars 1971 à Newcastle est une interprétation des « Tableaux d’Une Exposition » de Modeste Moussorgski, Pictures At An Exhibition qui contribue à la popularité du groupe. Des groupes germaniques de heavy metal feront par la suite des reprises du thème principal ainsi que Trevor Rabin dans l’album de Yes 90124.

« From the Beginning » qui est le single le plus vendu d’E.L.P. à ce jour, figure sur l’album Trilogy de 1972 .

Fin de 1973 sort Brain Salad Surgery avec une pochette originale conçu par l’artiste Hans Ruedi Giger, qui devient l’album studio le plus connu du groupe. Les paroles sont en partie écrites par Peter Sinfield le parolier des quatre premiers albums du groupe King Crimson.

Le triple album live Welcome Back My Friends to the Show That Never Ends est enregistré pendant les tournées mondiales qui suivent.

En avril 1974, ELP partage la en tête d’affiche avec Deep Purple au California Jam Festival, cette performance est souvent considérée comme l’apogée de la carrière du groupe.

Après une pause, le groupe commence à travailler avec un Orchestre symphonique et publie Works Volume 1 (pochette noire) en 1977 mais en pleine révolution punk-rock, les géants du rock progressif de l’époque sont à la peine. Les désaccords commencent à apparaître au sein du groupe, les albums suivants, Works Volume 2 (pochette blanche) et Love Beach sortis en 1978 sont réalisés uniquement pour honorer leur contrat avec la maison de disque. La coûteuse tournée Works Live de 1979 (avec tout un orchestre classique) est interrompue à mi-parcours par manque de succès.

E.L.P. se sépare une première fois cette année là.

En 1985 se forme un éphémère spin-off d’E.L.P. avec le batteur Cozy Powell (ex-Rainbow) après avoir proposer le poste à Simon Phillips à la place de Carl Palmer indisponible car devenu membre du groupe Asia entre-temps. Emerson, Lake & Powell ne sort qu’un album éponyme en 1986 avant de disparaître.

Le combo d’origine, Emerson, Lake & Palmer, se reforme en 1991 et publie deux albums studio, Black Moon en 1992 et In the Hot Seat en 1994. Malgré une critique mitigée le groupe remplit tout de même les salles lors de ses tournées à travers le monde.

Deuxième split d’Emerson, Lake and Palmer en août 1998.

Les trois hommes se réunissent ponctuellement mais sans lendemain le 25 juillet 2010 pour le concert qui célèbre le  40ème anniversaire de la formation.

Dépressif et alcoolique depuis la fin des années 70, Keith Emerson qui souffre par ailleurs d’une maladie dégénérative des nerfs de la main droite l’empêchant de jouer ainsi que de problèmes cardiaque, met fin à ses jours, par balle, le 11 mars 2016 dans sa résidence de Santa Monica en Californie.

Greg Lake est quant à lui emporté par un cancer à l’âge de 69 ans le 07 décembre 2016 à Londres.

De nombreux musiciens lui ont rendu hommage comme Rick Wakeman, Steve Hackett, Ringo Starr, John Wetton et Carl Palmer bien sûr qui est aujourd’hui le dernier membre survivant de ce  groupe devenu légendraire.

C’est la vie !

Discographie d’Emerson, Lake and Palmer

Deux albums d’E.L.P figurent dans Les 1001 albums qu’il faut avoir écoutés dans sa vieTarkus et Pictures at an Exhibition de 1971.

Albums studio

1970 : Emerson, Lake and Palmer
1971 : Tarkus
1972 : Trilogy
1973 : Brain Salad Surgery
1977 : Works Volume I
1977 : Works Volume II
1978 : Love Beach
1992 : Black Moon
1994 : In the Hot Seat

Albums live

1971 : Pictures at an Exhibition
1972 : Live at the Mar y Sol Festival
1974 : Welcome Back My Friends to the Show That Never Ends
1979 : In Concert – (Montréal en 1977 avec l’Orchestre Symphonique)
1993 : Live at the Royal Albert Hall
1993 : Works Live – (Réédition du concert Montréal In Concert de 1979)
1997 : Live at the Isle of Wight Festival 1970
1997 : Live in Poland
1997 : King Biscuit Flower Hour
1998 : Then and Now
2001 : The Show That Never Ends
2002 : Lucky Man Live Compilation
2003 : Fanfare : The 1997 World Tour
2003 : Fanfare : The Best Of Emerson Lake & Palmer – Live
2007 : Rare Broadcasts
2010 : 40th Anniversary Reunion Concert (High Voltage Festival 2010)
2010 : A Time and a Place
2011 : Live at Nassau Coliseum ’78
2013 : Live in Montreal 1977
2015 : Once Upon A Time Live In South America (Brésil, Argentine, Chili en 1993 et en 1997).

Compilations

1980 : The Best of Emerson Lake & Palmer (it)
1982 : The Atlantic Years
1994 : The Best of Emerson, Lake & Palmer (en)
1994 : Classic Rock Featuring « Lucky Man »
2000 : The Very Best of Emerson, Lake & Palmer (en)
2000 : Extended Versions: The Encore Collection
2001 : Fanfare for the Common Man – The Anthology (it)
2002 : The best of the bootlegs (2 CD)
2004 : An introduction to… Emerson, Lake & Palmer
2004 : The Ultimate Collection (it) (2 CD)
2007 : The Essential Emerson, Lake & Palmer (it) – Album double
2007 : Gold Edition
2009 : Works Volume 1 & 2 – Album triple
2011 : From the Beginning – The best of ELP – Album double
2012 : The Best of Emerson, Lake & Palmer : Come and see the show – Album double.

Site de référence : www.emersonlakepalmer.com

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Electric Light Orchestra

Electric Light Orchestra (ELO) groupe anglais fondé en 1971Electric Light Orchestra aussi appelé ELO est un groupe anglais de pop-rock-progressif fondé en octobre 1971 à Birmingham par Jeff Lynne (ex-Idle race et ex-The Move), Roy Wood (ex-The Move), Bev Bevan (ex-The Move) et Andy Craig. Leur musique est caractérisée par une fusion de la pop Beatlesque, d’arrangements classiques et rock, le tout agrémenté d’une iconographie SF futuriste.

ELO connait de grands succès dans les seventies avec des morceaux comme « Roll Over Beethoven », « Mr. Blue Sky », « Telephone Line » ou « Evil Woman » et « Mr Radio » mais le point culminant de la carrière d’Electric Light Orchestra est « Don’t Bring me Down » qui se classe dans les charts internationaux extrait du huitième album Discovery publié en juin 1979.

Electric Light Orchestra en bref

Les membre du premier line-up souhaitent à l’origine produire un genre nouveau de rock orchestral inédit à l’époque, situé entre la musique classique et le pop-rock en utilisant des instruments d’orchestres de chambre comme le violon et le violoncelle accompagnés par des instruments électriques, guitares, basse, synthés le tout soutenu par une batterie et des percussions.

Lors de la première époque d’Electric Light Orchestra, Jeff Lynne, Bev Bevan et le claviériste Richard Tandy sont les seuls membres réguliers du groupe. Le trio initial tente de mener cette expérimentation musicale avec ELO tout en continuant un travail plus conventionnel et plus rock-psychédélique / hard-rock avec The Move, le groupe dont ils sont issus.

Le premier album éponyme d’Electric Light Orchestra sort en 1971 après quoi Roy Wood qui s’en va fonder Wizzard en août 1972. Après ce départ Jeff Lynne devient le seul maître à bord (de la soucoupe volante), il se charge de la production et s’occupe des arrangements de chaque album tout en écrivant la quasi totalité des morceaux du groupe.

Défection d’Andy Craig en 1973, ELO recrute alors le claviériste Richard Tandy, Mik Kaminski, Hugh Mc Dowell, Mike Edwards, Michael d’Albuquerque, Wilfred Gibson et enregistre ELO II la même année. Cet album contient le célèbre : « Roll Over Beethoven » une reprise d’un morceau de Chuck Berry dont l’intro est un extrait de la cinquième symphonie de Beethoven, sur lequel violons et violoncelles se déchaînent bien avant le duo 2Cellos

Peu après sortent The Third Day puis Eldorado en 1974 sur lequel figure le titre « Can’t Get It Out of My Head ».

Kelly Groucutt et Melvyn Gale rejoignent la formation en 1975 et participent à l’enregistrement de Face the Music qui contient les tubes « Evil Woman » et « Strange Magic ».

L’année suivante ELO publie A New World Record qui est un carton international et qui restera probablement son album le plus vendu grâce aux singles « Livin’ Thing, Do Ya » et « Telephone Line ».

Electric Light Orchestra entame un tournée internationale pour soutenir l’album Out of the Blue publié en 1977 qui contient les singles « Turn to Stone », « Sweet Talkin’ Woman » et le fameux « Mr. Blue Sky ».

En pleine « Star-Wars mania« , les musiciens arrivent sur scène en sortant d’un vaisseau spatial tirant des rayons laser tous azimuths.

En 1979, le violoniste Mik Kaminski ainsi que les violoncellistes Hugh McDowell et Melvyn Gale, n’ayant plus rien à faire dans cette formation, quittent ELO peu après l’enregistrement de l’album Discovery.

En effet, en pleine période disco, le groupe remplace les instruments à corde classiques (violons et violoncelles) qui pourtant on fait son originalité par des synthés pour Discovery sur lequel se trouve néanmoins le titre qui devient leur plus succès commercial aux États-Unis, « Don’t Bring Me Down ». Cet opus compte d’autres singles à succès comme « Shine a Little Love », « Last Train to London » (très disco et succès le plus important d’ELO en Europe) ainsi que « The Diary of Horace Wimp ».

En 1980, Electric Light Orchestra travaille avec Olivia Newton-John sur la B.O.F. Xanadu, c’est Jeff Lynne qui compose la moitié des morceaux de la comédie musical. L’album de la bande originale du film est mieux accueilli que le le long métrage en question. Il y figure en particulier les tubes « Magic » d’Olivia Newton-John et « I’m Alive » et « All Over the World » d’Electric Light Orchestra.

L’album Time de 1981 qui est construit autour d’une thématique de science-fiction, se vend encore très bien, en partie grâce au single « Hold on Tight » qui est chanté en partie en français : « Accroche-toi à ton rêve… ». Les synthétiseurs sont encore très présents dans une pop proprette et commerciale mais en pleine montée du punk-rock et de la new-wave la popularité d’Electric Light Orchestra commence à chuter dangereusement, l’OVNI n’est pas loin du crash…

Initialement l’album Secret Messages publié en 1983 est sensé être un double 33t mais la maison de disques rejette l’idée. De fait un nombre important de compositions initialement prévues ne figurent que sur des faces B de singles ou sur des compilations ultérieures. La même année Kelly Groucutt quitte lui aussi le vaisseau (spatial).

En 1986, Electric Light Orchestra qui n’est plus qu’un trio, sort Balance of Power , album sur lequel figure « Calling America » et « So Serious », c’est de plus en plus de la grosse soupe… À des années lumières de ses débuts, l’astronef !

Le groupe splitte en 1988. (« ELO goodbye » si j’ose dire…) :).

Après avoir travaillé avec Black Sabbath, Bev Bevan accompagné de Mik Kaminski et Kelly Groucutt décident de reformer le groupe sous le nom d’Electric Light Orchestra Part II en 1990 mais sans Jeff Lynne et sans sa bénédiction ce qui ne va pas lui plaire du tout…

Ce line-up publie deux albums qui passent totalement inaperçus, ELO Part II est dissout à la fin de la même année.

Mik Kaminski et Kelly Groucutt poursuivent l’aventure sous le nom de The Orchestra suite à des différents juridiques lié au nom du groupe. En effet, Bev Bevan ayant cédé 50% de ses parts du nom Electric Light Orchestra ainsi que les droits sur ELO Part II à Jeff Lynne ce dernier devient le seul propriétaire du nom ou plutôt de la marque. Il intente une action en justice pour empêcher Mik Kaminski, Louis Clark, Parthenon Huxley, Eric Troyer et Kelly Groucutt de continuer à s’appeler « ELO Part II ». ces derniers tentent alors donc de s’appeler « ELO2 » mais optent finalement The Orchestra, choisi en raison de sa ressemblance avec le nom du groupe de Kelly Groucutt, Hugh McDowell et Kaminski, OrKestra qui a sévi fin 80, début 90…

Jeff Lynne quant à lui tente un redécollage d’ELO en 2001 et sort l’album Zoom avec une nouvelle équipe hormis Richard Tandy et des guests prestigieux comme les ex-Beatles Ringo Starr ou George Harrison. Le groupe entame une tournée qui fait un flop et doit être interrompue prématurément.

Le 14 septembre 2014, Electric Light Orchestra joue à Hyde Park devant 50.000 spectateurs ce qui motive Jeff Lynne à enregistrer le quatorzième album, Alone in the Universe, publié un an plus tard.

Sans le savoir vous avez probablement déjà entendu des morceaux d’ELO sous forme de reprises ou dans des pubs comme par exemple « Mr Blue Sky » pour un opérateur de téléphonie ou les renseignements 118…

Membres d’Electric Light Orchestra

Membres actuels

Jeff Lynne – guitares, basse, violoncelle, claviers, batterie, percussions, chœurs
Richard Tandy – claviers, synthétiseurs, basse, guitare, chœurs

Membres actuel du Jeff Lynne’s ELO

Milton McDonald – guitare, chœurs
Mike Stevens – guitare, chœurs
Iain Hornal – chœurs, guitare
Lee Pomeroy – basse guitare
Marcus Byrne – claviers
Bernie Smith – claviers
Donavan Hepburn – batterie
Melanie Lewis-McDonald – chœurs
Rosie Langley – violon
Amy Langley – violoncelle
Jess Cox – violoncelle
Jo Webb – claviers

Anciens membres

Bev Bevan – batterie, percussions, chant
Roy Wood – and chœurs, guitare, basse guitare, violoncelle, claviers, batterie, clarinet, basseoon, oboe, recorder, producer, songwriter, composer, arranger
Bill Hunt – claviers, cor anglais, cor de chasse
Steve Woolam – violon
Andy Craig – violoncelle
Hugh McDowell – violoncelle
Mike Edwards – violoncelle
Wilfred Gibson – violon
Mike de Albuquerque – basse guitare, chœurs
Colin Walker – violoncelle
Mik Kaminski – violon
Kelly Groucutt – basse guitare, chant et chœurs
Melvyn Gale – violoncelle

Anciens membres en concerts

Mik Kaminski – violon
Louis Clark – synthétiseurs, claviers
Dave Morgan – synthétiseurs, acoustic guitare, chœurs
Martin Smith – basse
Peggy Baldwin – violoncelle
Gregg Bissonette – batterie, chœurs
Matt Bissonette – basse guitare, chœurs
Marc Mann – guitares, claviers, chœurs
Sarah O’Brien – violoncelle
Rosie Vela – chœurs
Mick Wilson – percussions, chœurs
Chereene Allen – violon

Discographie d’Electric Light Orchestra

Albums studio

1971 : The Electric Light Orchestra (sorti aux USA sous le titre No Answer en 1972)
1973 : ELO 2 (remasterisé en 2003)
1973 : On the Third Day
1974 : Eldorado (remasterisé en 2001)
1975 : Face the Music
1976 : A New World Record
1977 : Out of the Blue (remasterisé en 2007)
1979 : Discovery (remasterisé en 2001)
1980 : Xanadu (bande originale, avec Olivia Newton John)
1981 : Time (remasterisé en 2001)
1983 : Secret Messages (remasterisé en 2001)
1986 : Balance of Power (remasterisé en 2007)
2001 : Zoom
2015 : Alone in the Universe

Albums live

1974 : The Night the Light Went On (In Long Beach)
1998 : Live at Winterland ’76
1998 : Live at Wembley ’78
1999 : Live at the BBC
2013 : Electric Light Orchestra Live

Compilations

1974 : Showdown
1976 : Olé ELO
1979 : ELO’s Greatest Hits
1985 : A Perfect World of Music
1990 : Afterglow
1992 : Burning Bright
1995 : Strange Magic: The Best of Electric Light Orchestra
1997 : Light Years: The Very Best of Electric Light Orchestra
2000 : Flashback
2002 : Friends and Relatives
2003 : The Essential Electric Light Orchestra
2005 : All Over the World: The Very Best of Electric Light Orchestra
2006 : The Harvest Years 1970-1973
2007 : Ticket to the Moon: The Very Best of Electric Light Orchestra – Vol 2
2012 : Mr. Blue Sky: The Very Best of Electric Light Orchestra

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