NOVISCE: Une plongée électro-pop dans l’univers singulier de l’artiste

NOVISCE, c’est le projet créatif de Jean-Charles Guichardot, musicien et acteur originaire du Jura et établi à Besançon en France. C’est une démarche visant à aller au-delà des mots grâce à la musique utilisée comme langage universel. NOVISCE, c’est l’acceptation constante que, malgré les certitudes accumulées au fil du temps face à la spontanéité de l’instant présent et à son caractère unique, l’artiste reste un novice devant la vie.

NOVISCE

Jean-Charles Guichardot s’est entouré de la violoncelliste et choriste Marie-Céline Jules pour apporter une touche de gravité et d’élégance à ses textes mélancoliques. Un état d’urgence lyrique dans un univers cynique créé par le grand réalisateur et directeur artistique DARAN, reconnu pour sa pertinence et sa grande sensibilité.

« C’est Capital » est né de la nécessité de réagir  à « Je traverse la rue, et je vous en trouve »…du travail! Dans une ambiance électro-pop, NOVICE nous embarque par ses mots et ses voix dans le costume étroit du français utile. Ce premier extrait percutant et politique pave la voie à la sortie de son premier album, ‘JUDAS’, à paraître à l’automne 2024.

Auteur, compositeur et interprète âgé de 36 ans et originaire du Jura, Jean-Charles Guichardot a débuté son parcours musical il y a plus d’une décennie par la pratique de la batterie. En 2010, il a entrepris une formation et une carrière de comédien à Paris.

Conjointement à ses activités théâtrales, il a continué à progresser musicalement en tant que batteur, puis chanteur, pour finalement se consacrer à la guitare. Il a également suivi des cours de chant au conservatoire du 16ème arrondissement de Paris pour enrichir ses compétences.

Pour élargir ses connaissances théoriques et pratiques, ainsi que son horizon musical, Jean-Charles a suivi une formation professionnelle à l’école de Jazz de Montpellier en 2017/2018. Actuellement, il poursuit sa formation au conservatoire de Besançon, se concentrant sur le chant et la guitare.

L’écriture est devenue pour lui une nécessité il y a plus d’une quinzaine d’années, servant à la fois de moyen d’expression et d’outil pour questionner la réalité lorsqu’elle le bouleverse, le perd ou le dépasse. Des fragments de textes, de la poésie, des essais : ces formes ne suffisent plus à exprimer ses idées, d’où son désir croissant de composer des chansons.


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Stereolux sort un premier EP, hypnotique et sensible

Se laisser envahir par la lumière… Telle pourrait être la philosophie de Xavier Damon, entité solo de Stereolux.

Son premier EP, hypnotique et sensible, nous plonge dans une atmosphère de douce introspection. Ses mélodies envoûtantes nous attirent dans son univers mélancolique et cathartique.

STEREOLUX ne souhaite pas raconter une histoire. Libérées de structure narrative, les paroles expriment des émotions dans un contexte minimal. Elles affleurent et guident l’imaginaire.

STEREOLUX nous propose ses musiques comme un panel d’émotions, portail nous permettant de replonger dans nos histoires passées ou d’expérimenter les sentiments d’histoires à venir.

Premiers accords. On ferme les yeux.

Who told you donne le ton.

Respirer. Se détacher, s’alléger pour sortir du chemin tout tracé. Avancer, porté par l’écho rassurant de la voix qui se pose, plus grave. You realize, it’s just a start. La poitrine, les épaules se délestent du fardeau, l’angoisse de ne plus se reconnaître disparaît. You are growing wings. They suit you so well, you’re beautiful.

Changement de climat. Not Afraid.

Des ciels sombres s’abattent sur des paysages désolés. Errance. I’m not afraid. Harmonie répétitive oppressante. I’m not afraid. Voix noyée. I’m not afraid. Everything’s gonna be alright, répétées comme pour conjurer un sort inéluctable ou tenter de se convaincre que tout ira bien… Fermer la porte, descendre les étages, presser le pas, au rythme…

Please évoque les sentiments contradictoires inhérents à une séparation. Please say that you don’t care now. S’éloigner de l’immeuble, de la rue, du quartier. Ralentir, se raviser. Please, don’t say it, don’t say it… Se frayer un passage dans la foule. Entre le désir de renouer et le besoin de s’éloigner.

Stereolux

Silence. On ouvre les yeux.

EP en écoute intégrale sur son compte Insta ici 

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