M’Z revient avec « Émancipés du vide ? » : une exploration musicale et poétique

Le 20 septembre 2024 marquera la sortie du quatrième album de M’Z, « Émancipés du vide ? », sur le label Luminol Records. Ce projet solo, créé par l’ami Mathieu Torres, s’inscrit dans une démarche artistique unique, où la musique rencontre des réflexions poétiques et philosophiques profondes.

Émancipés du vide

Émancipes du vide ?

L’album se concentre sur des thèmes tels que les gouffres émotionnels, la normalisation et l’illusion de la liberté dans un monde où le conformisme règne. Il propose une critique acerbe de notre société moderne, obsédée par le positivisme creux et les valeurs superficielles. Chaque morceau explore un aspect de la complexité humaine et des tensions internes que nous devons affronter.

Le premier extrait, « Serais-je, un jour, plus attractif que ce néant », est déjà disponible sur Bandcamp, offrant un aperçu de cet univers sonore dense et réfléchi. Un clip pour le morceau « La grâce de la solitude, ou l’anxiété sociale » est également en ligne.

Un style musical riche et diversifié

M’Z, projet façonné par une multitude de genres allant du Canterbury au Drum’n Bass, en passant par le Rock in Opposition et le Jazz, fait preuve d’une incroyable diversité musicale. Cet album ne s’impose aucune barrière esthétique, ce qui permet à Mathieu Torres de naviguer entre des ambiances ambient, psychedelic, free-rock et bien plus encore.

M’Z incarne une forme d’art sonore sans compromis, où la créativité débordante est canalisée dans des compositions originales et envoûtantes.

Émancipés du vide ? : Une invitation à la réflexion et à l’émotion

Avec « Émancipés du vide ? », M’Z offre bien plus qu’un simple album. C’est une œuvre introspective qui invite à repenser nos rapports à la liberté, au bonheur, et à la société. Chaque morceau dévoile un univers poétique complexe, avec des titres comme « Loxapine te ghoste » ou « DramaKing, le plaisir d’être en rupture », qui interrogent les facettes de la condition humaine.

Pré-commandez l’album sur le Bandcamp de M’Z et suivez l’évolution du projet sur YouTube et sur son site officiel.

Jesse Cook pour deux dates en France le 26/09 à Arles et 27/09 à Paris

Jesse Cook revient en concert pour deux dates en France le 26/09 à Arles (Cargo de Nuit) et 27/09 à Paris (Café de la Danse) : un virtuose de la guitare qui vaut le détour sur scène. A réserver avec les liens en bas d’article.

Jesse Cook pour deux dates en France le 26/09 à Arles (Cargo de Nuit) et 27/09 à Paris (Café de la Danse)
Jesse Cook pour deux dates en France le 26/09 à Arles (Cargo de Nuit) et 27/09 à Paris (Café de la Danse)

Jesse Cook aime fusionner différents styles de musique provenant de différentes régions du monde : flamenco, rumba, mais aussi rock, pop et classique.

Inspiré bien sûr par Nico Reyes, guitariste des Gypsy Kings, mais aussi par Peter Gabriel, Paco de Lucia, Buena Vista Social Club et Al Di Meola, Jesse Cook aime la musique qui offre un terrain commun aux différentes traditions, un espace où les musiques de toutes les époques historiques et de toutes les parties du monde peuvent se mélanger. Ses deux derniers albums lui ont permis de réaliser « qu’on peut aller n’importe où sur Terre sans bouger ».

Guitariste accompli, réalisateur et cinéaste tout aussi prolifique, Jesse Cook a fait évoluer ses talents pour créer des expériences qui ravissent le public à la fois en concert et en ligne.

Fort d’une carrière de plus de 25 ans et de milliers de concerts à travers le monde, Jesse Cook et son groupe offrent un mélange unique de rythmes et de rumba. Une musique inspirée du flamenco, fusionnée à une variété de styles latins, classiques et jazz, qui se transpose sur scène en un élan de liberté.

Ce guitariste canadien attire un public toujours croissant, friand de sa rumba flamenca, ses textures « nouvelâgeuses » et ses touches de jazz subtiles. Il est né à Paris, de parents canadiens. Après son retour au Canada, Cook a commencé les cours de guitare.

« Mon professeur jouait du flamenco. Ensuite, mon père à qui je rendais visite en France habitait à côté de Nicolas Reyes, le chanteur des Gipsy Kings. J’ai vu des gamins gitans au coin de la rue jouer de la même façon. C’était comme si le monde conspirait pour m’intéresser à ce style et je suis devenu accro. » C’est lorsqu’il a entendu l’album Friday Night in San Francisco de Paco de Lucia, Al Di Meola, John McLaughlin que les dés ont été jetés.

A ne pas rater lors de son passage en France, le 26 septembre à Arles au Cargo de Nuit et le 27 septembre à Paris au Café de la Danse.

En concert :

26.09 à Arles au Cargo de Nuit – Réservations

27.09 à Paris au Café de la Danse – Réservations

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