Kaori s’envole avec son 3ème album Dans l’attente d’un signe

KAORI-Dans l'attente d'un signe-

Kaori a sorti son troisième album Dans l’attente d’un signe, à découvrir sur toutes les plateformes digitales et avec le premier extrait Ma belle îlienne, et son clip officiel.

Kaori, c’est une merveille de songwriting à la guitare. Alexis Diawari et Thierry Folcher jouent un mélange subtil de reggae, de blues rock, de bossa, de chanson française, des textes engagés sur la liberté, la tolérance, la dignité humaine, une ode à la vie comme la douceur d’un poème.

On adore leur nouvel album Dans l’attente d’un signe, qui est un cocktail musical océanique très réussi. Une musique bien équilibrée avec de très belles mélodies et de beaux textes. Un peu blues, un peu pop, un peu chanson française.

Voilà 11 titres comme autant de plages ensoleillées où il fera bon se laisser porter par les ondulations d’une houle océanienne, un ressac de reggae revisité ou un shuffle évocateur des atmosphères bluesy.

Les deux artistes, dont la moyenne d’âge frôle la soixantaine, ont choisi l’image du kaori, arbre millénaire qui peuple les forêts du Caillou, comme belle métaphore pour parler de leurs profondes racines aux passés multiples, soucieux de déployer aujourd’hui leurs branches bien au-delà de l’Archipel.

Ils sont deux visages de leur Nouvelle-Calédonie natale. Thierry Folcher, calédonien de Poindimié descendant du bagne, et Alexis Diawari, originaire d’un clan kanak de Canala, donnent corps et voix à ce possible destin commun.

En tentant leur chance en France, les deux optimistes ont rencontré Lionel Gaillardin, réalisateur et arrangeur du studio Bonsai. Dans ce petit espace d’enregistrement, Kaori succède à Henri Salvador, à Benjamin Biolay, à Karen Ann ou encore à Didier Wampas…

Voilà un duo calédonien qui crée avec talent une musique habitée de leurs parcours de vie, riches et variés… Le niveau de professionnalisme intrigue.

Découvrez le clip de Ma Belle îlienne :

A ne pas rater le 14/11 au Sunset à Paris et sur leur site officiel

👉 Partagez cet article 👇 👍 🎵 🙂

 

Louis Arlette sort un nouvel extrait de l’incroyable Chrysalide

Louis Arlette sort un nouvel extrait de l'incroyable Chrysalide

Louis Arlette sort un nouvel extrait de l’incroyable Chrysalide. Voici le clip d’Amsterdam en peine, et son clip tourné en direct de l’hôpital, une vidéo folle qui vaut le détour.

Louis Arlette a sorti en début d’année un disque marquant appelé Chrysalide dont on a parlé ici, porté par un délire verbal et musical qui nous emporte dans une course folle à travers des lieux prestigieux en compagnie d’ombres illustres.

Louis Arlette sort un nouvel extrait de l'incroyable Chrysalide
Louis Arlette sort un nouvel extrait de l’incroyable Chrysalide

C’est parti pour le voyage initiatique d’une Chrysalide en mal de métamorphose ! Le disque est viscéralement urbain, éclairant les fractures contemporaines, les fragments de ce qui reste d’une monde en voie de disparition. Il en offre une bande-son inquiétante, hypnotique et d’une intelligence époustouflante. Poétique et difficile d’accès, séduisant et passionnant, il ne peut laisser indifférent, et trace les contours d’un univers d’une immense richesse musicale et sémantique.

Louis Arlette parle de son album Chrysalide comme de son premier album, c’est dire l’importance qu’il revêt à ses yeux. Un disque pareil à une libération, et au plaisir retrouvé de créer. Chrysalide contient neuf chansons qui semblent avoir convoqué autant Ferré, Murat, Daho ou Radiohead que Boby Lapointe, François Villon, Rabelais et Cervantes. Après lui, la chanson française ne sera plus jamais totalement la même

Louis Arlette donne des nouvelles avec ce clip qui vaut le détour, et dont voici la présentation par l’artiste lui-même :

« On entre en urgence dans un hôpital, mais on ne sait pas quand on en ressort.

Tout bascule, la moindre tache devient longue et fastidieuse, on est environné par ce que la vie peut avoir de plus dur, de plus froid.

Rythmés par le silence, le son des scanners, les plateaux repas, les souvenirs remontent et se mélangent dans un tourbillon anachronique total : Darius « Grand Roi des Perses », les girafes du zoo de Vincennes, Johannes Vermeer et sa peinture de lumière, le fantôme de Jacques Brel projeté sur un écran blanc…

Cette vidéo (filmée et montée sur place à l’hôpital Bégin) n’a pas pour but de m’exhiber mais de rassembler le courage et la poésie indispensables pour traverser chacune de nos épreuves. »

Louis Arlette à suivre avec ce lien

Regardez le clip d’Amsterdam en Peine :

https://www.youtube.com/watch?v=iw5kEPkjJx8

👉 Partagez cet article 👇 👍 🎵 🙂