Thomas Parth a contacté Mazik pour nous présenter son Ep intitulé « Dirty » un 4 titres totalement autoproduit sans aide de crowdfunding mais juste avec la sueur et les oreilles.
Il nous présente son travail comme un véritable hommage au rock des 90’s, à des groupes tels que Radiohead, Nirvana, Soundgarden, Pixies (entre autres) et qu’il a tenté de s’approcher de l’esprit des productions de Steve Albini c’est à dire inventives, intransigeantes, éthiques et caractérisées par une technique du son qui font de lui un musicien incontournable du rock indé.
Avec ce teasing notre curiosité a été mise en appétit et nous nous sommes précipités comme des morfalous sur le lien d’écoute… Je dois avouer que nous n’avons pas été déçus. 😉
Thomas Parth en bref
Thomas, dont le véritable nom est Parthonnaud, vit à Paris. Pour lui, faire de la musique, monter un groupe et sortir un disque est la concrétisation d’un rêve de gosse. Sa démarche 100% libre et autodidacte l’a conduit à produire cet EP de belle facture paru le 13 décembre 2020.
Il signe avec Dirty un hommage au rock des 90’s et ses ambiances lourdes, mélancoliques, nerveuses, aériennes et électriques. Biberonné par des groupes comme Radiohead, Soundgarden, Nirvana, Pixies, Sonic Youth entre autres, il nourrit aujourd’hui de ses propres mains et de sa propre voix ce rock qui l’a vu grandir.
L’EP Dirty qui comprend quatre titres (en anglais) a été réalisé, mixé, masterisé au Studio Panda Paris par Antony Soler.
1. Sweet Fever 03:28
2. Dirty 03:26
3. Time Has Stopped 04:36
4. Past 03:33
Toutes les compositions sont de Thomas Parth sauf « Time has stopped », morceau cosigné par Gilles Rosano.
Voici son clip, fait maison dans les mêmes conditions et la même ambiance que l’EP. L’utilisation du Vocodeur évoque le style de Steven Wilson. Montez le son et bonne écoute !
Ce n’est peut-être que le fruit du hasard (où pas) mais l’EP dans son ensemble me fait penser à la pandémie qui a marqué 2020 avec cette saleté de covid19 (Dirty), dont un des symptômes est la fièvre (Sweet Fever) qui provoque une mise en parenthèse de nos vies (Time Has Stopped) et une certaine nostalgie du passé (Past)…
En tous cas, c’est une belle découverte et nous devrions encore entendre parler de Thomas Parth dans un avenir que nous espérons tous plus radieux…
Line-up
Thomas Parth : chant, guitares, basse
Florent Gayat : basse sur « Dirty »
Antony Soler : batterie, claviers
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