Reiner Witzel est un musicien de jazz Allemand multi-instrumentiste (saxophone, flûte, clarinette…), compositeur, photographe et professeur de saxophone aux Conservatoires de Düsseldorf et de Francfort.
Il est devenu l’une des personnalités les plus actives sur la scène Jazz internationale et a reçu beaucoup de prix dont le « Hennessy Jazzwaward ».
Reiner Witzel a participé à nombreux festivals de jazz réputés comme Montreux, San Jose, Odessa, Yaoundé et Montevideo.
Il a publié des albums sous son nom ou avec ses groupes « Witzel’s Venue » et « Drei im roten Kreis », avec des invités tels que David Sanborn, Vernon Reid, Lew Soloff et a collaboré avec de nombreux artistes et groupes de jazz ou pop comme le Gil Evans Orchestra, Richie Beirach, Defunkt, Fela Kuti, Roger Cicero, Udo Lindenberg, Sascha, Xavier Naidoo, Udo Lindenberg et bien d’autres…
En octobre 2016 il publie avec Datfunk, un groupe électro-jazz-funk Athénien, un excellent album intitulé Steppin’ Up… (lisez bien il ne s’agit pas de Daftpunk comme je l’ai personnellement cru au début 😉 )
Peter Green est un guitariste et compositeur britannique de blues et de rock qui effectue ses débuts de musicien en 1966 au sein des Peter B’s Looners de l’organiste Peter Bardens (ex-accompagnateur de Van Morrison chez Them et futur Camel) avec lequel il enregistre un single. Il y côtoie notamment le batteur Mick Fleetwood.
En juillet 1966, John Mayall lui propose de remplacer définitivement Eric Clapton au sein de ses Bluesbreakers où il ne tarde pas à retrouver Mick Fleetwood. Peter Green ne reste qu’une seule année dans la formation de John Mayall, le temps d’enregistrer l’album A Hard Road, une authentique réussite où il démontre toute l’étendue de son talent de guitariste, notamment dans deux morceaux instrumentaux : « the Stumble » et « Supernatural« .
En septembre 1967, Peter Green quitte John Mayall et part fonder le Fleetwood Mac en compagnie de Mick Fleetwood et de John McVie, également un musicien des Bluesbreakers.
En tant que compositeur, on le sait assez peu, c’est lui qui a composé le célèbre morceau « Black Magic Woman » immortalisé par Carlos Santana.
Peter Green vit mal son succès et abandonne sa carrière pour se plonger dans une spirale mystique et rencontrer des troubles psychiques qui le conduisent à se faire soigner… Il refait surface en 1979 avec le superbe album In the Skies, très chaleureusement accueilli par la critique. Après quelques autres albums de qualités inégales, il retombe dans une longue dépression…
The End of the Game 1970
In the Skies 1979
Little Dreamer 1980
Whatcha Gonna Do? 1981
White Sky 1982
Kolors 1983
A Case for the Blues with Katmandu 1984
Compilations
1981 – Blue Guitar
1988 – Legend
1990 – Backtrackin’
1991 – A Rock Legend
1992 – Last Train to San Antone
1992 – Baby When the Sun Goes Down
1993 – Collection
1995 – Rock and Pop Legends
1996 – Green and Guitar
1997 – Bandit
1997 – Knights of the Blues Table
1998 – Blues for Dhyana
1998 – Born On The Wild Side
2000 – Alone with the Blues
2001 – The Clown
2001 – A Fool No More
2001 – Promised Land
Avec The Splinter Group
1997 – Peter Green Splinter Group
1998 – The Robert Johnson Songbook
1998 – Soho Session
1999 – Destiny Road
2000 – Hot Foot Powder
2001 – Time Traders
2001 – Me and the Devil
2001 – Blues Don’t Change
2002 – The Best of Peter Green Splinter Group
2003 – Reaching the Cold 100
Ses participation aux albums de Fleetwood Mac ne sont pas listées.
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