Trois ans après un premier album sobrement intitulé Zimmer, le producteur électronique parisien offre Amour, un nouveau disque qui respire la fin d’été. Un disque chaud et humain, à écouter les yeux fermés sur un dancefloor.
En une dizaine d’années, le DJ et producteur Zimmer s’est taillé une place de choix parmi les artistes qui dessinent le futur des musiques électroniques aux côtés de Rone, Superpoze & more…
Repéré dès 2015 au sein de la jeune écurie du label Roche Musique, aux côtés de Kartell, FKJ ou Darius, il propose aujourd’hui une facette plus pop et racée de son univers musical en naviguant entre dream pop indie et slow techno.
«Quand j’ai fini mon album, je me suis rendu compte que j’avais écrit des chansons d’amour électroniques, alors le mot « Amour » s’est imposé. C’est un mot que je trouve magnifique. A la fois flamboyant et monumental, mais aussi doux et embrassant. »
Écrit et réalisé entre la France et les Etats-Unis, les deux pays de cœur de Zimmer, l’album Amour navigue entre dream pop indie et slow techno.
«Mon nouvel album est une déclaration d’amour à ceux qui l’écoutent. Je fais de la musique avant tout pour la relation à l’autre, pour partager des émotions.»
Pour les guests, Zimmer s’est entouré de chanteurs et de musiciens qu’ils respectent et avec lesquels il a opéré de vraies rencontres. Le principe : pas d’échanges de fichiers instrumentaux sur lequel le guest plaque sa voix à l’autre bout du monde.
Cette plénitude partagée et ses sentiments apaisés et joyeux se retrouvent dans les compositions de Zimmer avec ses invités. Ils constituent une « chaleur humaine » que le Parisien recherchait et un caractère universel avec ces voix en anglais, en portugais et pour la première fois en français.
« Cet album, je l’ai conçu pour que les auditeurs rêvent, qu’ils aient le sourire, qu’ils se draguent et flirtent sur les dancefloors. »