En mai, l’artiste bruxellois VHINZ annonce la sortie de son premier album intitulé « Belvédère » sur le label Clivage Music, alliant ainsi son expertise des machines et des ordinateurs, sa passion pour les sonorités électroniques qui ont marqué son adolescence, et son adoration pour le cinéma et les bandes originales puissantes.
« Belvédère » est un premier album d’une richesse surprenante. Il présente un univers onirique où se mêlent poésie, pudeur et intensité, à travers des chansons synthétiques aux contours cinématographiques et des envolées électro épiques.
VHINZ se dévoile et exprime ses rêveries, abordant l’espoir en parlant et chantant dans la langue de Molière. À la croisée des univers de Moby, Vitalic, Air et Serge Gainsbourg, avec une densité et des atmosphères propres à VHINZ, « Belvédère » peut être interprété comme une quête de bonheur, de douceur et d’apaisement, illustrée par des titres tels que « À Ciel Ouvert », « Elevation » ou « Envole-Moi ». Tout en laissant également une place à l’inquiétude et au trouble avec des morceaux tels que « Je pense à Toi », « Le Passage » ou « Between Flesh and Mind ».
Vincent Honca, d’origine arménienne, est un passionné de claviers. Il a commencé à jouer sur un mini synthétiseur pendant son enfance, puis s’est formé au piano classique à l’Académie de Musique, et a ensuite utilisé un synthétiseur Yamaha pendant son adolescence. Au cours des années 2000, la musique électronique a joué un rôle omniprésent dans sa vie. Il était fan de Daft Punk, Moby, Vitalic, Air et The Chemical Brothers. Il fréquentait également les clubs et les fêtes électro à Bruxelles et dans les environs. Passionné d’informatique et de technologie, d’ordinateurs et de synthétiseurs, il s’est lancé dans la production de sa propre musique.
Vincent Honca, devenu programmeur informatique, a décidé de se consacrer plus sérieusement à la musique en parallèle. Dès 2015, il a publié ses premiers morceaux, dont « Drastical », en collaboration avec le célèbre Kris Menace. Ces trois titres, plutôt deep et house, étaient destinés au dancefloor. À cette époque, il était en pleine recherche de son identité musicale. Progressivement, la musique de Vincent Honca a intégré une autre de ses passions : l’univers cinématographique et les bandes originales de films.
Par la suite, Vincent Honca a décidé de se faire appeler VHINZ, conciliant ainsi son expertise des machines et des ordinateurs, sa passion pour les sonorités électroniques qui l’ont marqué pendant son adolescence, et son amour pour le cinéma et les bandes originales puissantes et captivantes.